RĂ©servations Places assises, Service de table, Sert de l'alcool Voir tous les dĂ©tails fonctionnalitĂ©s Emplacement et coordonnĂ©es 46 avenue Jean Cristau, 85800, Saint-Gilles-Croix-de-Vie France Site internet +33 2 51 55 01 91 AmĂ©liorez cette page Avis (76) ContrĂŽle des avis Écrivez un avis
Affiner la rechercheÉtoilesNotes clientsPrestationsPiscineEn front de plageBain Ă  remousServices inclusPetit-dĂ©jeunerParkingAnnulationInternetLa SterneĂ  0,5 km du centre-ville, Saint-Gilles-Croix-de-Vie, VendĂ©e, FranceExcellentBasĂ© sur 230 avisHĂŽtel La Sterne Saint-Gilles-Croix-de-Vie propose un cadre confortable pour votre sĂ©jour Ă  Saint-Gilles-Croix-de-Vie. Il inclut Ă©galement un accĂšs internet sans fil gratuit dans les parties communes, une piscine et un service de location de vĂ©los. Le Domaine des Fontenelles se trouve Ă  Coex et met Ă  votre disposition une connexion Internet sans fil gratuite. Il comporte Ă©galement une laverie et une piscine extĂ©rieure. Sea ViewĂ  0,5 km du centre-ville, Saint-Gilles-Croix-de-Vie, VendĂ©e, FranceLe Ker Louis propose un hĂ©bergement 3 Ă©toiles Ă  Saint-Gilles-Croix-de-Vie. Il comporte Ă©galement une connexion Internet sans fil gratuite. EdenaĂ  1,6 km du centre-ville, Saint-Gilles-Croix-de-Vie, VendĂ©e, FranceL'HĂŽtel EdĂ©na, Saint-Gilles-Croix-de-Vie propose un hĂ©bergement 3 Ă©toiles confortable Ă  Saint-Gilles-Croix-de-Vie. Il inclut une salle de gym, un jardin, un sauna et une piscine. SituĂ© Ă  Bretignolles-sur-Mer, Camping Le Parc de la Greve se trouve Ă  moins de 40 minutes en voiture de l'AĂ©rodrome de La Roche-sur-Yon - Les Ajoncs et met Ă  votre disposition une piscine extĂ©rieure et un accĂšs internet sans fil gratuit. Il comporte Ă©galement un club pour enfants, un terrain de jeux et une bibliothĂšque. Prix des hĂŽtels Ă  Saint-Gilles-Croix-de-Vie2 Ă©toiles et moinsN°1 du classement par popularitĂ©La Sterne2 Place Guy Kergoustin, Saint-Gilles-Croix-de-Vie, VendĂ©e, France3 Ă©toilesN°1 du classement par popularitĂ©Edena39 Boulevard De Lattre De Tassigny, Saint-Gilles-Croix-de-Vie, VendĂ©e, FranceN°2 du classement par popularitĂ©Sea View46 Avenue Jean Cristau, Saint-Gilles-Croix-de-Vie, VendĂ©e, FranceMeilleurs tarifs obtenus par les utilisateurices HotelsCombined au cours des 24 derniĂšres sur les sĂ©jours Ă  Saint-Gilles-Croix-de-VieQuels sont les meilleurs hĂŽtels Ă  Saint-Gilles-Croix-de-Vie ?ibis Styles Saint-Gilles-Croix-de-Vie, ayant obtenu la note de 7,7 Ă  partir de 1 035 commentaires, est l'un des hĂŽtels les plus populaires Ă  Saint-Gilles-Croix-de-Vie. Les autres meilleurs hĂŽtels incluent RĂ©sidence La Garenne, avec une note moyenne de 8,3 Ă  partir de 60 commentaires, et Residence Goelia La Grande Plage ayant obtenu la note de 7,7 Ă  partir de 243 coĂ»tent les hĂŽtels Ă  Saint-Gilles-Croix-de-Vie ?Le hĂŽtels Ă  Saint-Gilles-Croix-de-Vie coĂ»tent en moyenne 130 €/nuit selon les donnĂ©es fournies par HotelsCombined au cours des 72 derniĂšres heures. Un hĂŽtel 4 ou 5 Ă©toiles Ă  Saint-Gilles-Croix-de-Vie a un prix moyen plus Ă©levĂ© de 97 €/nuit et 89 €/nuit coĂ»te un hĂŽtel bon marchĂ© Ă  Saint-Gilles-Croix-de-Vie ?Les recherches HotelsCombined au cours des 3 derniers jours ont indiquĂ© que les prix des hĂŽtels bon marchĂ© Ă  Saint-Gilles-Croix-de-Vie commençaient Ă  partir de 81 €/nuit seulement, en fonction de la popularitĂ© de vos dates de coĂ»te un hĂŽtel Ă  Saint-Gilles-Croix-de-Vie ce soir ?Les utilisateurices ont constatĂ© que les prix pour les hĂŽtels Ă  Saint-Gilles-Croix-de-Vie ce soir commençaient Ă  partir de 81 € seulement, allant jusqu'Ă  un prix moyen de 130 €, selon les recherches effectuĂ©es au cours des 72 derniĂšres heures.
Létablissement, situé au 46 AV JEAN CRISTAU à SAINT-GILLES-CROIX-DE-VIE (85800) , était l' établissement siÚge de l'entreprise SARL LE KER LOUIS. Créé le 01-11-2011, son activité était les hÎtels et hébergement similaire.
Ca pourrait ĂȘtre une plage de sable fin ... Ca pourrait ĂȘtre une plage de sable fin comme une autre, comme la VendĂ©e en compte beaucoup, mais cette plage somme toute banale en hiver se rĂ©vĂšle d'une rare richesse dĂšs que l'Ă©tĂ© effet, dĂšs que les cabines de plages sont assemblĂ©es, c'est une toute autre plage, une toute autre vie !Les familles, pour la plupart habituĂ©es depuis plusieurs gĂ©nĂ©rations reprennent dĂšs le premier jour, leurs habitudes et leurs marques dans une ambiance pour le moins partie de tarot par-ci, des tricoteuses par lĂ , des volleyeurs au loins, des pĂ©cheurs sur la jetĂ©e....Dans Lire tout Lieu magnifique ou j'ai passĂ© une ... Lieu magnifique ou j'ai passĂ© une semaine de vacance au mois d'Avril avec ma petite famille , sable trĂšs fin idĂ©ale pour faire des chĂąteaux de sable , quelques surfeurs et un beau port avec pas mal d'animationslieu que je recommande a 100% Magnifique plage bordĂ©e d'une esplanade ... Magnifique plage bordĂ©e d'une esplanade au top niveau propretĂ© et culinaire.
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La plage de Saint-Jean-de-Monts Saint-Jean-de-Monts, FrankreichFinden Sie das ideale Hotel in der UmgebungVergleichen Sie Preise von verschiedenen WebseitenBuchen Sie zu einem fantastischen Preis!KontaktBoulevard de la mer , 85160Telefon +33826887887 Fax +33251598787 Offizielle HomepageWeitere Top HotelsHotel La CĂŽte OcĂ©aneHotel Valdys Thalasso & Spa - Les PinsHotel Logis Le RobinsonVent d'Eden Park HotelHotel La Maison Sur L'EauHotel ibis Styles Saint-Gilles-Croix-de-VieHotel HĂŽtel Inn Design Resto NovoHotel Ker LouisHotel Atlantique VacancesHotel Le ChĂąteau de la VĂ©rieHotel Belambra Clubs Les Grands EspacesHotel Le CeĂŻtyaHotel Le Manoir de l'AntiquitĂ©Hotel Village Sous Les PinsHotel La CornicheHotel Les Mas De Saint HilaireHotel Auberge La ChaumiĂšreHotel La SterneHotel Logis - L'EspadonHotel HĂŽtel Le Cap DambreHotel L'AtlantiqueHotel Logis HĂŽtel de BretagneHotel Casita Del MarHotel Siblu villages - Le Bois DormantHotel Logis - L'OcĂ©anHotel Madame Vacances Le Domaine de VertmarinesHotel Camping La PrairieHotel EdenaHotel Le Marais - Chambres d'hĂŽtesThe Originals Port la Vie ex Inter-HotelBrit-Hotel - L'OrĂ©e du BoisHotel Le GoĂ©landHotel Siblu Villages - Le Bois MassonHotel Les DunesHotel Logis - Le RichelieuHotel La TriereWeitere Attraktionen - La plage de Saint-Jean-de-MontsGrand Parc du Puy du FouFuturoscopeFlughafen Nantes AtlantiqueL'Anse du SudZoo de La FlĂšcheLe Vieux PortBahnhof Nantesde l'Ile Saint-NicolasSentier du GolfeZoo La PalmyrePort de Pont-AvenFlughafen RennesCathĂ©drale St LouisFlughafen La RochelleHourtin OcĂ©anPlage de PontaillacLa CĂŽte SauvageLa Grande Plage des Sables d'OlonneSchloss der Bretagne-HerzögeBassin des Grands YachtsPort de plaisance de LorientLe VendĂ©e GlobeStade de la Beaujoire - Louis FonteneauPorte de la Grosse HorlogeAquarium La RochelleLes Machines de l'ÎleJardin des PlantesPlage des DamesEcomusĂ©e de l'Ile de GroixNaturiste du CHMPort-la-ForĂȘtPort MariaMaison du Marais poitevinLe PoulduLe Pin SecThalasso Alliance PornicLe remblai des Sables d'OlonnePlace RoyaleRegionaler Naturpark von BriĂšreHotel de VilleDie drei TĂŒrme von La RochellePort de plaisanceMenhire von CarnacNauzan-StrandEuronat - de DĂ©pĂ©ePlage des Sables Blancsde la Pointe de Beg MeilPort de Noirmoutier-en-l'IleBurg NoirmoutierLe RobinsonGolf Saint Jean de MontsAtlantic Toboggandes BecsGrande Plage de SionLa Corniche VendĂ©enneFromentineLa Grande CĂŽteLa Grande-PlagePort du BecLe Passage du GoisChateau de CommequiersTour de l'Ăźle Ă  vĂ©loVendĂ©e MiniatureFestival La 7Ăšme VagueVieux chĂąteauÉglise Saint-PhilbertPlage des HuttesCholet Le Pontreau AirportFlughafen VannesPlage de TharonPflanzengartenCitadelle VaubanChĂąteau du RivauPlage de FoncillonAbbaye Royale de FontevraudMaison de la Chouannerie et de la RĂ©volutionPalais des Comtes de Poitou - Ducs d'AquitaineLe marathon de la RochelleWeitere beliebte StranddestinationenLa Rochelle, StrandhotelsNantes, StrandhotelsLa Baule-Escoublac, StrandhotelsLes Sables d'Olonne, StrandhotelsPornichet, StrandhotelsSainte Marie de RĂ©, StrandhotelsSaint-Martin-de-RĂ©, StrandhotelsLa Chapelle-sur-Erdre, StrandhotelsPornic, StrandhotelsNoirmoutier-en-l'Île, StrandhotelsSaint-Nazaire, StrandhotelsLe Bois Plage en RĂ©, StrandhotelsSaint-Jean-de-Monts, StrandhotelsRivedoux-Plage, StrandhotelsLa Flotte, StrandhotelsSaint-Brevin-les-Pins, StrandhotelsGuĂ©rande, StrandhotelsArs-en-RĂ©, StrandhotelsSaint-Hilaire-de-Riez, StrandhotelsBouguenais, StrandhotelsLe Croisic, StrandhotelsLa Roche-sur-Yon, StrandhotelsLes Epesses, StrandhotelsLa Tranche-sur-Mer, StrandhotelsLagord, StrandhotelsSaint-Herblain, StrandhotelsLa Couarde-sur-Mer, StrandhotelsRezĂ©, StrandhotelsSaint-Gilles-Croix-de-Vie, StrandhotelsCholet, StrandhotelsLes Herbiers, StrandhotelsLoix, StrandhotelsLongeville-sur-Mer, StrandhotelsBatz-sur-Mer, StrandhotelsSaint-Denis-d'OlĂ©ron, StrandhotelsSaint-ClĂ©ment-des-Baleines, StrandhotelsSarzeau, StrandhotelsTalmont-Saint-Hilaire, StrandhotelsLa Turballe, StrandhotelsLes Portes en RĂ©, StrandhotelsNavigationHotelsucheFrankreichPays de la LoireVendĂ©eSaint-Jean-de-MontsLa plage de Saint-Jean-de-Monts LaCotriade: dĂ©couverte grĂące Ă  cadeau - consultez 203 avis de voyageurs, 66 photos, les meilleures offres et comparez les prix pour Saint-Gilles-Croix-de-Vie, France sur Tripadvisor.
Hotel Ker Louis Saint-Gilles-Croix-de-Vie, FranceAbout Ker LouisKer Louis hotel is in front of the ocean, 10 minutes to the city center, 50 meters away from the beach, 100 meters of the landing stage of the Ile d'Yeu, 800 meters of the station SNCF French National Railway Company, 15 rooms, among which 7 with a view of sea, 2 sea view suites, big terrace. Free internet access, air conditioning, restaurant, bar, breakfast sea view buffet with terrace, half board, full board and evening amenitiesWiFi in lobbyFree WiFiPoolSpaParkingPetsA/CRestaurantHotel barGymLocationRating overviewLocationVery good / 10RoomsFair / 10ServiceGood / 10All amenitiesHotel facilitiesLiftTerracePets allowedHotel barConference roomsNon-smoking roomsDirect beach accessDeck chairsWiFi in public areas24-hour room serviceFree WiFi in public areasHousekeepingFree WiFiHand sanitizer providedSafe distanceNew safety protocolsFor childrenCotAccessibilityWheelchair accessibleAccessible bathroomAccessible parkingIn-room accessibilityRoom facilitiesBalcony upon inquiryShowerOpenable windowsTelevisionHairdryerCentral heatingElectric kettleAir conditioningSatellite TVDeskSitting areaTelephoneSafeWiFiFridgeFree WiFi roomsArrival / DepartureCheck in 1500Check out 1000Contact46 avenus Jean Cristau , 85800 , Saint-Gilles-Croix-de-Vie , FranceTelephone +33251550191Cleanliness policiesNew safety protocolsSafe distanceHand sanitizer providedInteresting hotels nearby Ker LouisThese hotels may also be interesting for you...Hotel Valdys Thalasso & Spa - Les PinsHotel EdenaVent d'Eden Park HotelHotel Gites Les Ptites Maisons Dans La PrairieHotel Logis - L'EspadonHotel Appartements La FeliciteHotel House Saint Gilles Croix De Vie - 8 Pers, 79 M2, 5/4Hotel La JosephineHotel House Saint Gilles Croix De Vie - 6 Pers, 55 M2, 3/2Hotel Studio AvironHotel Villa AudryHotel House -Destinations nearby Ker LouisOther destinations close to Ker LouisLes Sables d'Olonne, Pays de la Loire HotelsNoirmoutier-en-l'Île, Pays de la Loire HotelsLes Herbiers, Pays de la Loire HotelsCarquefou, Pays de la Loire HotelsSaint-Pierre-d'OlĂ©ron, Poitou-Charentes HotelsLa Roche-sur-Yon, Pays de la Loire HotelsSaint-Brevin-les-Pins, Pays de la Loire HotelsLe Pouliguen, Pays de la Loire HotelsBouguenais, Pays de la Loire HotelsRezĂ©, Pays de la Loire HotelsArs-en-RĂ©, Poitou-Charentes HotelsSainte Marie de RĂ©, Poitou-Charentes HotelsLa BrĂ©e-les-Bains, Poitou-Charentes HotelsAytrĂ©, Poitou-Charentes HotelsFontenay-le-Comte, Pays de la Loire HotelsSaint-Gilles-Croix-de-Vie, Pays de la Loire HotelsSainte-Gemme-la-Plaine, Pays de la Loire HotelsLe Bois Plage en RĂ©, Poitou-Charentes HotelsLa Flotte, Poitou-Charentes HotelsGuĂ©rande, Pays de la Loire HotelsRivedoux-Plage, Poitou-Charentes HotelsSaint-Denis-d'OlĂ©ron, Poitou-Charentes HotelsMissillac, Pays de la Loire HotelsLoge-Fougereuse, Pays de la Loire HotelsSaint-Hilaire-de-Riez, Pays de la Loire HotelsLa Chapelle-Hermier, Pays de la Loire HotelsSallertaine, Pays de la Loire HotelsNotre-Dame-de-Monts, Pays de la Loire HotelsOlonne-sur-Mer, Pays de la Loire HotelsLa Mothe-Achard, Pays de la Loire HotelsMouilleron-le-Captif, Pays de la Loire HotelsPornic, Pays de la Loire HotelsLa Tranche-sur-Mer, Pays de la Loire HotelsSainte-Hermine, Pays de la Loire HotelsVigneux-de-Bretagne, Pays de la Loire HotelsMoreilles, Pays de la Loire HotelsVallet, Pays de la Loire HotelsThouarĂ©-sur-Loire, Pays de la Loire HotelsSaint-Mars-la-RĂ©orthe, Pays de la Loire HotelsLes Epesses, Pays de la Loire HotelsExplore nearby attractionsAssociation MusĂ©e du SablePort OlonaAtlantic TobogganHĂŽtel de Ville Les Sables d'OlonnePort de Noirmoutier-en-l'IleIndian ForestLa Grande-PlageLa Corniche VendĂ©enneGrande Plage de Siondes BecsVendĂ©e MiniatureFestival La 7Ăšme VagueChateau de CommequiersLe RobinsonLa plage de Saint-Jean-de-MontsGolf Saint Jean de MontsLa plage de SauveterreLe Havre d'OlonneSalles Omnisports et Stade Marcel GuilbaudLes SalinesGolf des olonnesLe VendĂ©e GlobeLa plage de La ParacouFishing PortGare des Sables d'OlonnePiscine d'eau de mer du RemblaiNotre Dame de Bon PortLe quartier de l'Ile PenotteLe remblai des Sables d'OlonneLa Grande Plage des Sables d'OlonneFromentineLa Grande CĂŽtePlace de la LibertĂ©Port du BecLe puits d'EnferTour de l'Ăźle Ă  vĂ©loLe Passage du GoisVieux chĂąteauLa baie de CayolaPort BourgenayFoire aux CĂ©libatairesPlage du VeillonPort de La GuittiĂšreGare de La Roche-sur-YonPlace NapolĂ©onÉglise Saint-PhilbertChĂąteau de NoirmoutierPlage des DamesMusĂ©e des outils des mĂ©tiers du boisLa Roche-sur-Yon Airport
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Le Ker Louis Ă  Saint-Gilles-Croix-de-VieActivitĂ© HotelAdresse 46 Avenue Jean Cristau 85800 Saint-Gilles-Croix-de-VieBesoin d’aide ?Si vous n’arrivez pas Ă  trouver les coordonnĂ©es d'une Hotel Ă  Saint-Gilles-Croix-de-Vie en naviguant sur ce site,vous pouvez appeler le 118 418 dĂźtes TEL », service de renseignements tĂ©lĂ©phonique payant 24h/24 7j/7 qui trouve le numĂ©ro et les coordonnĂ©es d'une HotelAPPELEZ LE 118 418 et dĂźtes TEL »Horaires d'ouvertureLes horaires d'ouverture de Le Ker Louis Ă  Saint-Gilles-Croix-de-Vie n'ont pas encore Ă©tĂ© les !Contactez directement Le Ker Louis pour connaĂźtre leurs horaires d'ouverturesLes entreprises Ă  proximitĂ© de Le Ker Louis dans la catĂ©gorie Hotel1 33 m Restaurant Le BoisvinetActivitĂ©s Sandwicheries, Snack-Bars, Saladeries, PizzeriaAdresse 2 Rue Louis Cristau, 85800 Saint-Gilles-Croix-de-Vie2 321 m Le RĂ©cifActivitĂ©s CrĂȘperie, Brasserie, restaurants, Restauration À DomicileAdresse 20 Boulevard Mer, 85800 Saint-Gilles-Croix-de-Vie3 514 m 46Ăšme ParallĂšleActivitĂ©s RestaurantAdresse 4 Avenue Jean Cristau, 85800 Saint-Gilles-Croix-de-Vie4 752 m L'avironActivitĂ©s Brasserie, RestaurantAdresse 92 Quai RĂ©publique, 85800 Saint-Gilles-Croix-de-Vie5 818 m CĂŽte Ouest RestaurantActivitĂ©s RestaurantAdresse Avenue Maurice Perray La Grande Plage, 85800 Saint-Gilles-Croix-de-Vie6 1 km Restaurant La FauvetteActivitĂ©s Sandwicheries, Snack-Bars, Saladeries, PizzeriaAdresse 56 Quai RĂ©publique, 85800 Saint-Gilles-Croix-de-Vie7 1 km 8 1 km Moulerie De La GareActivitĂ©s Sandwicheries, Snack-Bars, Saladeries, PizzeriaAdresse 52 Quai RĂ©publique, 85800 Saint-Gilles-Croix-de-Vie9 1 km Le Lamparo Entre Terre Et MerActivitĂ©s Sandwicheries, Snack-Bars, Saladeries, PizzeriaAdresse 221 Avenue Corniche, 85270 Saint-Hilaire-de-Riez10 1 km HĂŽtel La SterneActivitĂ©s Hotel Restaurant, Fermes Auberges, HĂŽtels Restaurants, Centrales de RĂ©servations HĂŽteliĂšresAdresse 2 Place Guy Kergoustin, 85800 Saint-Gilles-Croix-de-VieDonner votre avis sur le ker louis Ă  Saint-Gilles-Croix-de-Vie

LeKer Louis, Saint-Gilles-Croix-de-Vie : consultez 76 avis sur Le Ker Louis, noté 3,5 sur 5 sur Tripadvisor et classé #61 sur 90 restaurants à Saint-Gilles-Croix-de-Vie.
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L'aĂ©roport de Nantes-Atlantique est Saint-Gilles-Croix-de-Vie HĂŽtel de Ville de Saint-Gilles-Croix-de-Vie. Blason Logo Administration Pays France RĂ©gion Pays de la Loire DĂ©partement VendĂ©e Arrondissement Les Sables-d'Olonne IntercommunalitĂ© Pays de Saint-Gilles-Croix-de-Vie AgglomĂ©ration Maire Mandat François Blanchet 2020-2026 Code postal 85800 Code commune 85222 DĂ©mographie GentilĂ© Gillocrucien Populationmunicipale 7 862 hab. 2019 DensitĂ© 752 hab./km2 Population agglomĂ©ration 22 000 hab. GĂ©ographie CoordonnĂ©es 46° 41â€Č 54″ nord, 1° 56â€Č 22″ ouest Altitude 14 mMin. 0 mMax. 28 m Superficie 10,46 km2 Type Commune urbaine et littorale UnitĂ© urbaine Saint-Hilaire-de-Riez ville-centre Aire d'attraction Saint-Hilaire-de-Riez commune du pĂŽle principal Élections DĂ©partementales Canton de Saint-Hilaire-de-Riez LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription Localisation GĂ©olocalisation sur la carte Pays de la Loire Saint-Gilles-Croix-de-Vie GĂ©olocalisation sur la carte VendĂ©e Saint-Gilles-Croix-de-Vie GĂ©olocalisation sur la carte France Saint-Gilles-Croix-de-Vie GĂ©olocalisation sur la carte France Saint-Gilles-Croix-de-Vie Liens Site web Site officiel Saint-Gilles-Croix-de-Vie est une commune du centre-ouest de la France, situĂ©e sur la CĂŽte de LumiĂšre, dans le dĂ©partement de la VendĂ©e en rĂ©gion Pays de la Loire. Elle est nĂ©e en 1967 de l'unification de deux communes situĂ©es de part et d'autre de l'embouchure de fleuve de la Vie Saint-Gilles-sur-Vie et Croix-de-Vie. RĂ©putĂ©e pour son important port de pĂȘche spĂ©cialisĂ© notamment dans la sardine, Saint-Gilles-Croix-de-Vie est Ă©galement classĂ©e station balnĂ©aire depuis 1982. GĂ©ographie Le territoire municipal de Saint-Gilles-Croix-de-Vie s’étend sur 1 046 hectares. L’altitude moyenne de la commune est de 14 mĂštres, avec des niveaux fluctuant entre 0 et 28 mĂštres[1],[2]. Situation SituĂ©e dans le littoral de l'ocĂ©an Atlantique le long de la CĂŽte de LumiĂšre Ă  70 kilomĂštres de Nantes, 320 de Bordeaux, 450 de Paris et 600 de Lyon[3], Saint-Gilles-Croix-de-Vie s'Ă©tend sur une superficie de 10,5 km2[4]. Elle est bordĂ©e par les communes de Saint-Hilaire-de-Riez au nord, Le Fenouiller au nord-est, Givrand au sud-est et Bretignolles-sur-Mer au sud[5]. L'ensemble formĂ© par Saint-Gilles-Croix-de-Vie et Saint-Hilaire-de-Riez est parfois dĂ©signĂ©e sous le nom de Le Havre-de-Vie »[6]. Parfois, ces termes englobent aussi les communes du Fenouiller et de Givrand[7]. Au sein de l'arrondissement des Sables-d'Olonne, elle est le chef-lieu du canton de Saint-Gilles-Croix-de-Vie qui s'Ă©tend sur 29 192 hectares et regroupe 14 communes[8] seize avant la fusion de Saint-Gilles-sur-Vie et Croix-de-Vie en 1967 puis de Saint-Nicolas-de-Brem et Saint-Martin-de-Brem en 1974[9] L'Aiguillon-sur-Vie, Brem-sur-Mer, Bretignolles-sur-Mer, La Chaize-Giraud, CoĂ«x, Commequiers, Le Fenouiller, Givrand, Landevieille, Notre-Dame-de-Riez, Saint-Hilaire-de-Riez, Saint-Gilles-Croix-de-Vie, Saint-Maixent-sur-Vie et Saint-RĂ©vĂ©rend. Environnement Littoral et plages Ăźlot de pilours ou pil'ours vue depuis la plage de Boisvinet Ă  Saint-Gilles-Croix-de-Vie La corniche vendĂ©enne relie la plage de Boisvinet » Ă  Sion-sur-l'OcĂ©an dans la commune de Saint-Hilaire-de-Riez. Ce parcours le long des cĂŽtes d'une longueur de quatre kilomĂštres est classĂ© en 1926[10]. Un peu au large, au niveau de l'entrĂ©e du port se trouve le rocher de Pilours ou Pil'ours qui est une Île accessible Ă  marĂ©e basse uniquement aux grandes marĂ©es. Au XVe siĂšcle, le cartographe Pierre Garcie-Ferrande le dĂ©signe sous le nom de Perrourse », allusion Ă  la constellation de la Petite Ourse qui aide les marins Ă  se repĂ©rer[10]. En fĂ©vrier 1787, lors d'une violente tempĂȘte, La Ville du Cap, un navire de 400 tonneaux transportant pour plus de 500 000 francs de marchandises, s'Ă©choue sur le rocher seuls quatre des 29 marins prĂ©sents Ă  bord survivent[11]. CĂŽtĂ© Saint-Gilles, la commune compte deux secteurs dunaires Ă©tendus. Les dunes de la Garenne forment une pointe sableuse au nord de la grande plage » qui sert de dĂ©fense naturelle pour le port[12]. Plus au sud, les dunes du Jaunay occupent un espace de 300 hectares sur une distance de cinq kilomĂštres entre Saint-Gilles-Croix-de-Vie et Bretignolles-sur-Mer[13]. Jusqu'Ă  la fin du XIXe siĂšcle, ce littoral de Saint-Gilles-Croix-de-Vie est relativement stable Ă  l'exception de deux Ă©vĂšnements mĂ©tĂ©orologiques majeurs. Durant l'hiver 1747/1748, les vents creusent une brĂšche de 58 mĂštres dans la partie centrale de la dune de la Garenne et une autre de 78 mĂštres dans la pointe. En mai 1865, une tempĂȘte amĂšne une surplus de sable qui obstrue l'entrĂ©e du port[14]. Puis avec la prĂ©sence touristique grandissante dans la citĂ© et la construction d'installations fixes, le littoral connaĂźt un phĂ©nomĂšne d'Ă©rosion accrue et la grande plage » dĂ©maigrit. Pour stabiliser les dunes de la Garenne qui subissent alors l'Ă©rosion par le vent, le ComitĂ© pour la protection de la nature et des sites CPNS organise Ă  partir de 1978 une opĂ©ration de replantage d'oyats, Ă  laquelle participent notamment des enfants scolarisĂ©s dans les Ă©coles de la ville[15]. Des chemins sont mis en place pour Ă©viter la destruction de la vĂ©gĂ©tation Ă  cause d'une surfrĂ©quentation. En 1986, cette action vaut au CPNS le grand prix national » et aux jeunes de la ville le prix des jeunes », remis par la fondation Ford Nature et Patrimoine[16]. Au milieu des annĂ©es 1980, le CPNS s'intĂ©resse aux dunes du Jaunay, prĂ©cĂ©demment exploitĂ©es en carriĂšre. Outre des plantations et l'installation de barriĂšres brise-vent, la dune est remodelĂ©e sur une bande de deux kilomĂštres pour que son point haut surplombe de dix mĂštres le niveau de la mer[17]. Cours d'eau L'embouchure du fleuve cĂŽtier la Vie sĂ©pare la ville en deux parties Saint-Gilles et Croix-de-Vie. Son affluent, le Jaunay, se jette dans la Vie au niveau du port, cĂŽtĂ© Saint-Gilles. Climat Les mesures mĂ©tĂ©orologiques dĂ©butent en 1877 Ă  Saint-Gilles[18]. Le climat de la VendĂ©e est de type ocĂ©anique. Les cĂŽtes connaissent des prĂ©cipitations marquĂ©es en hiver ainsi que quelques tempĂȘtes. Sous l'influence de l'ocĂ©an Atlantique, le climat est frais en Ă©tĂ©. Le tableau suivant compare le climat Ă  La Roche-sur-Yon avec la moyenne nationale et quelques villes symboliques Comparaison des donnĂ©es mĂ©tĂ©orologiques de La Roche-sur-Yon avec les donnĂ©es nationales Ville Ensoleillement h/an Pluie mm/an MĂ©diane nationale 1 852 835 La Roche-sur-Yon 1756 884,3 Paris 1 662 637 Nice 2 724 733 Strasbourg 1 693 665 Brest 1 530 1 210 Bordeaux 2 035 944 Durant la dĂ©cennie 1993/2002, la durĂ©e annuelle d'ensoleillement est d'environ 1 700 heures pour La Roche-sur-Yon et monte Ă  2 000 heures dans les cĂŽtes des Sables-d'Olonne, ce qui permet de comparer la station balnĂ©aire Ă  Toulouse ou Bordeaux[18]. La VendĂ©e est l'un des dĂ©partements les plus ensoleillĂ©s de France au niveau de l'Ă©nergie reçue avec 1 268 kWh par mÂČ et par an. L'irradiation sur le plan horizontal du canton de Saint-Gilles-Croix-de-Vie se situe entre 1270 et 1 290 kWh/m2[19]. Le tableau ci-dessous indique les moyennes relevĂ©es de 1971 Ă  2000 de 1991 Ă  2000 pour l'ensoleillement et depuis 1984 pour les records Ă  la station La Roche-sur-Yon - Les Ajoncs ». RelevĂ© mĂ©tĂ©orologique de La Roche sur Yon de 1971 Ă  2000 Mois jan. fĂ©v. mars avril mai juin jui. aoĂ»t sep. oct. nov. dĂ©c. annĂ©e TempĂ©rature minimale moyenne °C 2,4 2,5 3,5 5,1 8,8 11,3 13,5 13,1 11,1 8,5 4,8 3,2 7,4 TempĂ©rature maximale moyenne °C 8,1 9,8 12,1 14,3 18,6 22 24,7 24,8 22 17,2 11,8 9,1 16,2 Record de froid °Cdate du record −14,91985 −15,41986 −10,32005 −4,11996 −0,31995 2,82006 7,21996 5,11986 32002 −4,51997 −7,11988 −9,51996 Record de chaleur °Cdate du record 15,62007 20,61998 27,52012 28,12005 312012 34,82001 36,62006 38,72003 33,72005 28,41997 19,71988 18,72000 Ensoleillement h 73 99 147 154 196 210 229 231 171 116 75 54 1 756 PrĂ©cipitations mm 94,4 77,4 54,1 76,4 51,1 49 45,3 40 85,2 102,2 110,5 98,7 884,3 Nombre de jours avec prĂ©cipitations 12 11 10 10 11 8 7 6 9 12 12 14 122 Les records de tempĂ©rature maximale et minimale Ă  La Roche-sur-Yon sont respectivement de 38,7 °C le 9 aoĂ»t 2003 durant la canicule europĂ©enne de 2003 et de -−15,4 °C le 10 fĂ©vrier 1986. Des vents Ă  140 km/h ont Ă©tĂ© enregistrĂ©s le 27 dĂ©cembre 1999 et 64,8 mm de prĂ©cipitations sont tombĂ©s dans la seule journĂ©e du 6 juillet 2001. La Roche-sur-Yon connaĂźt 143 jours avec faible ensoleillement et 57 jours avec fort ensoleillement. Voies de communication et transports Voies routiĂšres Saint-Gilles-Croix-de-Vie est notamment accessible via l'autoroute A87 jusqu'Ă  La Roche-sur-Yon puis la D 948 jusqu'Ă  Aizenay et enfin la D 6 jusqu'Ă  Givrand ou bien au dĂ©part de Nantes en passant via Machecoul et Challans. Ponts Le pont de la Concorde sur le fleuve de la Vie en septembre 2007. TraversĂ©e Ă  guĂ© ou Ă  l'aide d'un bac jusqu'au XIXe siĂšcle, la Vie peut ĂȘtre franchie en plusieurs points de passage Le pont de l'Atlantique oĂč circule une rocade semi-rapide D 38 bis au nord. Le pont de la Concorde en centre-ville, construit en 1952 et baptisĂ© ainsi depuis l'unification en 1967 de Saint-Gilles-sur-Vie et de Croix-de-Vie. Un premier pont Ă  une seule arche est construit en 1835 ; un droit de pĂ©age y est appliquĂ© jusqu’en 1865 au grand dam des Croixdeviaux Croixdeviots qui doivent se rendre rĂ©guliĂšrement Ă  Saint-Gilles-sur-Vie, chef-lieu et pĂŽle Ă©conomique du canton[23]. Ce premier pont est remplacĂ© en 1882 par un pont mĂ©tallique avec deux piles en pierre. Une passerelle cyclo-piĂ©tonne AndrĂ©-BĂ©nĂ©teau jouxte le pont de la Concorde depuis dĂ©cembre 2001. Elle est construite quelques mĂštres en amont, sur les piles de l'ancien pont de chemin de fer dĂ©truit en 1981[24] empruntĂ© par les trains circulant entre Bourgneuf-en-Retz et Les Sables-d'Olonne[25]. Durant la saison touristique, un passeur permet de traverser le port, plus en aval, de la mairie cĂŽtĂ© Croix-de-Vie Ă  la partie nord de la grande plage » cĂŽtĂ© Saint-Gilles[26]. Sur l'affluent de la Vie, le Jaunay, une passerelle en bois est construite en 1858-1859[27] puis remplacĂ©e par un pont en 1927[28]. Pistes cyclables Le dĂ©partement de la VendĂ©e propose divers itinĂ©raires cyclables, partiellement sur des sites dĂ©diĂ©s. AprĂšs plusieurs annĂ©es de travaux, le rĂ©seau s'Ă©tend en juin 2009 sur 770 kilomĂštres[29]. Il est ainsi possible de rejoindre Saint-Gilles-Croix-de-Vie au dĂ©part de La Roche-sur-Yon via un parcours d'une cinquantaine de kilomĂštres dont les trois quarts en site propre via Aizenay puis CoĂ«x[30]. Le circuit de 39 kilomĂštres dont trente en site propre entre Saint-Jean-de-Monts et Bretignolles-sur-Mer passe Ă©galement dans la commune[31]. Les Gillo'bus Ă  la Gare de Saint-Gilles-Croix-de-Vie en juillet 2019. Gillo'bus Saint-Gilles-Croix-de-Vie dispose d'un rĂ©seau de transports en commun nommĂ© Gillo'bus, celui-ci comprend deux lignes de bus et est exploitĂ© par la sociĂ©tĂ© Voyages Nombalais. Transport ferroviaire Façade du bĂątiment voyageur de la gare de Saint-Gilles-Croix-de-Vie, vue depuis la place de la Gare en avril 2007. Terminus de la ligne Nantes - Saint-Gilles-Croix-de-Vie, la ville est desservie quotidiennement par des TER AlĂ©op exploitĂ©s par la SNCF avec le soutien du conseil rĂ©gional des Pays de la Loire. Ces liaisons sont assurĂ©es par des trains ou par des autocars[32]. Gare Initialement envisagĂ©e du cĂŽtĂ© de Saint-Gilles-sur-Vie, la gare Croix de Vie - Saint Gilles » est construite en 1881 prĂšs du port de Croix-de-Vie notamment pour transporter les cargaisons de poissons vers Nantes[33]. Elle est fermĂ©e pendant la Seconde Guerre mondiale, puis Ă  nouveau entre 1970 et 1982 en l'absence de lignes rĂ©guliĂšres. La gare prend le nom Saint Gilles - Croix de Vie » en 1885[34], puis est renommĂ©e Croix de Vie - Saint Gilles » en 1934 aprĂšs des travaux pour un nouveau bĂątiment voyageur que Saint-Gilles-sur-Vie n'a pas financĂ©[33]. En 1985, elle prend le nom Saint-Gilles-Croix-de-Vie »[33], dix-huit ans aprĂšs la fusion des deux communes. À partir de 1881 liaison vers Nantes D'octobre 1881 Ă  septembre 1970, Saint-Gilles-Croix-de-Vie n'est que le terminus d'une antenne de la ligne Ă  voie unique reliant Nantes Ă  La Roche-sur-Yon via Sainte-Pazanne, Machecoul, Challans et Aizenay[33]. Cette antenne dĂ©marre dans le sens La Roche-sur-Yon-Nantes au niveau de la gare de Commequiers, entre Challans et Aizenay, ce qui nĂ©cessite le retournement des trains en provenance de la prĂ©fecture de la Loire-Atlantique. En 1938, la SNCF met cependant en place des trains reliant directement Nantes Ă  Saint-Gilles-Croix-de-Vie[37]. À la fermeture de la ligne en septembre 1970, seul subsiste un service partiel en saison estivale. En septembre 1982, la ligne est remaniĂ©e la vitesse limite est relevĂ©e de 70 Ă  90 km/h et l'antenne de Saint-Gilles-Croix-de-Vie est rouverte pour ĂȘtre directement raccordĂ©e vers Nantes entre Soullans et Commequiers, avec un temps de parcours rĂ©duit d'une trentaine de minutes grĂące Ă  la suppression de manƓuvres. Le tronçon sud en direction de La Roche-sur-Yon est en partie dĂ©fĂ©rĂ©, une section entre Commequiers et CoĂ«x Ă©tant transformĂ©e en vĂ©lo-rail Ă  usage touristique. En 2009, le tronçon entre Nantes et Sainte-Pazanne est rĂ©novĂ©. Est alors Ă©voquĂ© un projet pour relever la vitesse maximale Ă  140 km/h et Ă©lectrifier l'ensemble de la ligne d'ici 2015 Nantes et Saint-Gilles-Croix-de-Vie seraient ainsi reliĂ©es en 58 minutes contre 1 h 18 auparavant, avec une augmentation du nombre de dĂ©sertes et la circulation possible de TGV[38],[39]. 1923 - 1949 liaison vers Bourgneuf et Les Sables-d'Olonne De 1923 Ă  1949, la station balnĂ©aire est Ă©galement desservie par la ligne Bourgneuf - Les Sables-d'Olonne. Comme sur la ligne de Pornic Ă  PaimbƓuf, un petit train transportant voyageurs et marchandises circule le long de la cĂŽte atlantique de Bourgneuf-en-Retz en Loire-InfĂ©rieure au nord de la VendĂ©e[40],. Dans le cadre du prolongement de cette ligne Ă  voie mĂ©trique vers Les Sables-d'Olonne en avril 1925, un pont mĂ©tallique - le plus important du rĂ©seau des tramways de la VendĂ©e[40] - est construit pour traverser la Vie puis desservir une autre station situĂ©e Ă  Saint-Gilles-sur-Vie[33]. En mai 1998, cette gare, situĂ© au 35 rue du MarĂ©chal-Leclerc, est transformĂ©e en bureau pour le Centre socioculturel sous le nom de La P'tite gare »[42]. Desserte par autocar ExploitĂ©es par la sociĂ©tĂ© Sovetour, les lignes AlĂ©op » no 568 Les Sables-d'Olonne - La Barre des Monts[43] et no 572 La Roche-sur-Yon - Saint-Jean-de-Monts[44], desservent la ville. Transports maritimes de voyageurs D'avril Ă  septembre, la Compagnie vendĂ©enne assure une liaison entre L'Île-d'Yeu et Saint-Gilles-Croix-de-Vie cette traversĂ©e de 31 kilomĂštres dure une heure environ. Des liaisons vers cette Ăźle situĂ©e dans l'ocĂ©an Atlantique sont Ă©galement proposĂ©es toute l'annĂ©e au dĂ©part de Fromentine hameau de La Barre-de-Monts et en saison depuis l'embarcadĂšre de la Fosse commune de BarbĂątre dans l'Ăźle de Noirmoutier[45]. Avec deux parking Ă  proximitĂ© boulevard Georges-Pompidou et place de la Douane, l'embarcadĂšre est situĂ© avenue Jean-Cristau, cĂŽtĂ© Croix-de-Vie, prĂšs de la commune de Saint-Hilaire-de-Riez. Trafic sur la liaison Saint-Gilles-Croix-de-Vie - Île d'Yeu[46] Nombre de passagers par an 1990 1995 2000 2005 2007 81 140 67 382 74 108 96 448 71 437 Transport aĂ©rien La ville est situĂ©e Ă  68 kilomĂštres de l'aĂ©roport Nantes Atlantique, au sud-ouest de Nantes[3]. Urbanisme Typologie Saint-Gilles-Croix-de-Vie est une commune urbaine car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1],[47],[48],[49]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Saint-Hilaire-de-Riez, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 7 communes[50] et 38 572 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[51],[52]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Hilaire-de-Riez, dont elle est une commune du pĂŽle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[53],[54]. La commune, bordĂ©e par l'ocĂ©an Atlantique, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du 3 janvier 1986, dite loi littoral[55]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[56],[57]. Occupation des sols Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 CLC. L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover CLC, est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s 58,3 % en 2018, en augmentation par rapport Ă  1990 44,3 %. La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante zones urbanisĂ©es 46,7 %, zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes 15,3 %, zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication 11,6 %, prairies 7,7 %, terres arables 7,2 %, milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e 5 %, eaux maritimes 3,5 %, espaces ouverts, sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation 2,7 %, zones humides cĂŽtiĂšres 0,2 %, forĂȘts 0,1 %[58]. L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes. Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes la carte de Cassini XVIIIe siĂšcle, la carte d'Ă©tat-major 1820-1866 et la pĂ©riode actuelle 1950 Ă  aujourd'hui[59]. Toponymie Le premier vocable fait rĂ©fĂ©rence au bourg de Saint-Gilles-sur-Vie fondĂ© au IXe siĂšcle par des moines de Saint-Gilles-du-Gard. DeuxiĂšme vocable Ă  Croix-de-Vie. L'hagiotoponyme Saint-Gilles fait rĂ©fĂ©rence Ă  Gilles l'Ermite. Histoire Saint-Gilles-Croix-de-Vie rĂ©sulte de l'unification en 1967 de deux communes situĂ©es de part et d'autre de l'embouchure de la Vie Saint-Gilles-sur-Vie et de Croix-de-Vie. De la GenĂšse Ă  la RĂ©volution la pĂȘche en mer et le commerce maritime Sur la rive gauche, Saint-Gilles-sur-Vie, alors connue sous le nom de Sidunum, Sidum ou encore Sidonum, est créée dans l'AntiquitĂ© comme colonie phocĂ©enne[60]. Le village pourrait ĂȘtre le cĂ©lĂšbre Portus-Secor d'oĂč Jules CĂ©sar lance sa conquĂȘte de l'Ouest de la Gaule au milieu du Ier siĂšcle av. Ce n'est pas impossible, estiment les historiens Joseph RouillĂ© et Marcel Couton, puisqu'il est Ă  peu prĂšs certain que Sidum est le port le plus ancien de la cĂŽtĂ© atlantique[61]. » Au IXe siĂšcle, des moines bĂ©nĂ©dictins de Saint-Michel-en-l'Herm, vĂ©nĂ©rant saint Gilles l'Ermite, s'implantent dans la citĂ© en construisant un prieurĂ© ainsi qu'une Ă©glise fortifiĂ©e[62]. Le docteur Marcel Audouin Ă©voque pour sa part des moines venus de Saint-Gilles-du-Gard. Ne rejetons pas sa thĂšse, proposent les historiens Joseph RouillĂ© et Marcel Couton, car il est possible que ceux-ci firent une halte chez leurs frĂšres de Saint-Michel-en-l'Herm et c'est peut-ĂȘtre, une dĂ©lĂ©gation des deux communautĂ©s qui vint Ă  Saint-Gilles[63]. » Au Moyen Âge, la citĂ©, organisĂ©e autour de la grande rue devenue la rue Torterue, est un port important, capable d'accueillir des navires d'une capacitĂ© de cent tonneaux. Au XVIIIe siĂšcle, Saint-Gilles est le port par lequel transite les exportations du Bas-Poitou la Vie permet le transport de cĂ©rĂ©ales, de sel, de vin ou encore de bĂ©tail depuis le bocage[64]. Lors d'un voyage en Bas-Poitou rĂ©gion correspondant au dĂ©partement de la VendĂ©e avant sa mort en 1610, Henri IV passe une nuit dans le chĂąteau de Beaumarchais, propriĂ©tĂ© de Vincent Bouhier de l'Ecluse, Ă  une lieue de Saint-Gilles. Il participe Ă  une chasse Ă  courre le lendemain[65]. Croix-de-Vie apparaĂźt dans la rive droite de la Vie au XVIe siĂšcle, lorsque le duc de Montausier accorde aux marins de Saint-Gilles des parcelles de terrain dans la petite Ăźle » pour qu'ils puissent y construire leurs habitations[62]. Marie de Beaucaire fait construire entre 1601 et 1610 le grand mĂŽle » et le quai neuf de Madame »[27], puis une chapelle de 1611 Ă  1613[10]. Cet Ă©difice sera utilisĂ© jusqu'Ă  la construction de l'Ă©glise Sainte-Croix en 1896. Lors d'un recensement en 1610 prĂ©alable Ă  la construction de cette chapelle, Croix-de-Vie compte environ 500 habitants, soit 180 familles 160 catholiques et 20 protestantes[66]. En 1622, lors du combat de Riez pendant les rĂ©bellions huguenotes, le roi Louis XIII dĂźne[67] Ă  Saint-Gilles. Durant la guerre de VendĂ©e de 1793 Ă  1796 puis la tentative de soulĂšvement durant les Cent-Jours en 1815, la Vie matĂ©rialise l'opposition entre les adversaires blancs et les partisans bleus de la RĂ©volution française de 1789 les marins et autres personnes de condition modeste de Croix-de-Vie sont des royalistes tandis que les nĂ©gociants et armateurs de Saint-Gilles-sur-Vie intĂšgrent plutĂŽt le camp rĂ©publicain avant de soutenir NapolĂ©on Bonaparte. Pendant la dĂ©christianisation, les rĂ©volutionnaires rebaptisent Saint-Gilles en Port FidĂšle » et Croix-de-Vie en Le-HĂąvre-de-Vie »[68]. Au milieu du XIXe siĂšcle le dĂ©veloppement des bains de mer La plage Ă  marĂ©e haute, Ă  gauche la Villa Notre-Dame, carte postale de Saint-Gilles-sur-Vie postĂ©e en 1921 ou 1922. À partir des premiers bains de mer au dĂ©but des annĂ©es 1860, le tourisme va progressivement devenir une activitĂ© importante au sein de Saint-Gilles-sur-Vie et Croix-de-Vie. Le premier Ă©tablissement de bains de mer entre en service cĂŽtĂ© Saint-Gilles en juillet 1863, un an aprĂšs les premiers baignades dans la plage de La Garenne de Retz ». Les premiĂšres villas sont construites en retrait de la mer prĂšs de la grande plage » et au niveau de la corniche Ă  deux pas de la plage de Boisvinet », cĂŽtĂ© Croix-de-Vie[60]. Bien que trois heures soient nĂ©cessaires pour relier Croix-de-Vie au dĂ©part de Nantes et dix heures depuis Paris, le dĂ©veloppement du chemin de fer Ă  partir des annĂ©es 1880 permet aux vacanciers de rejoindre les deux citĂ©s. À l'Ă©tĂ© 1907, le nombre d'estivants est estimĂ© Ă  2 000, puis grimpe Ă  6 000 en 1934 alors que la station tient un stand Ă  la foire de Paris[69]. Les premiĂšres colonies de vacances s'installent en 1912[69]. Un syndicat d'initiative est créé en 1922[60]. L'instauration en juin 1936 des premiers congĂ©s payĂ©s aprĂšs l'arrivĂ©e au pouvoir du Front populaire va encore doper cette activitĂ© touristique. La Seconde Guerre mondiale l'interrompt, le canton de Saint-Gilles-Croix-de-Vie se trouvant dans la zone cĂŽtiĂšre interdite ». À Saint-Gilles-sur-Vie, le quartier de la plage est Ă©vacuĂ© en 1941 pour procĂ©der Ă  l'installation de zones de tirs dans les dunes de la Garenne[34]. À la LibĂ©ration, le tourisme reprend ensuite de plus belle, notamment via le succĂšs du camping. À l'Ă©tĂ© 1946, la station accueille 20 000 vacanciers, elle compte 900 rĂ©sidences secondaires en 1962 avant la construction du premier immeuble collectif en 1968[69]. En 1979, 2 500 rĂ©sidences sont mises en service par le groupe Merlin[69]. La fusion des deux citĂ©s Croix-de-Vie et Saint-Gilles-sur-Vie en 1967 Le 23 janvier 1967, Saint-Gilles-sur-Vie et Croix-de-Vie fusionnent pour former la nouvelle commune de Saint-Gilles-Croix-de-Vie sous l'impulsion de Marcel Ragon 1912-1991, maire de Croix-de-Vie Ă  partir de 1965[71] qui devient le maire de la nouvelle entitĂ© et de Charles Grasset 1922-2009, adjoint au maire de Croix-de-Vie de mars 1965 Ă  dĂ©cembre 1966 qui sera le premier adjoint de la commune jusqu'en 1995[72],[73]. ÉvoquĂ©e dĂšs la RĂ©volution française, la fusion des deux citĂ©s est rejetĂ©e par Croix-de-Vie dans les annĂ©es 1830 puis Ă  nouveau dans les annĂ©es 1860. En 1895, l'idĂ©e est relancĂ©e lors de la construction d'un hĂŽpital commun dans le territoire de Saint-Gilles-sur-Vie, mais les querelles Ă  propos de la gare ferroviaire font avorter le projet. DĂ©fendu dans les annĂ©es 1920 par Marcel Baudouin, fondateur du syndicat d'initiative, qui y voit un atout pour la prospĂ©ritĂ© de la station balnĂ©aire, la fusion est refusĂ©e par Saint-Gilles-sur-Vie cette fois au dĂ©but des Trente Glorieuses. Il faut attendre les Ă©lections municipales françaises de 1965 pour que les deux municipalitĂ©s organisent la fusion des deux communes voisines[71]. Depuis la fusion Ă  l’époque contemporaine port de pĂȘche et station balnĂ©aire En 1982, Saint-Gilles-Croix-de-Vie est classĂ©e station balnĂ©aire[60]. Politique et administration Tendances politiques et rĂ©sultats Liste des maires IntercommunalitĂ© et canton En 1929, un syndicat intercommunal est mis en place pour procĂ©der Ă  l'Ă©lectrification du canton de Saint-Gilles-Croix-de-Vie. À partir de 1939, un rĂ©seau d'eau potable voit le jour[79]. Le collĂšge Pierre-Garcie-Ferrande est construit en 1968, une usine de traitement des dĂ©chets en 1977 puis un centre de secours en 1982[79]. De 1997[80] Ă  2009, elle fait partie de la communautĂ© de communes CĂŽte-de-LumiĂšre, communautĂ© de communes regroupant Brem-sur-Mer, Bretignolles-sur-Mer, Le Fenouiller, Saint-Gilles-Croix-de-Vie et Saint-Hilaire-de-Riez. Avec la communautĂ© de communes Atlancia-des-Vals-de-la-Vie-et-du-Jaunay, elle forme le syndicat mixte Mer et Vie », créé en avril 2001. Cette structure, dont le pĂ©rimĂštre correspond exactement au territoire du canton de Saint-Gilles-Croix-de-Vie, fait suite au syndicat intercommunal Ă  vocations multiples SIVOM Mer et Vie », créé en mai 1987[81]. En 2009, les deux communautĂ©s de communes regroupant les quatorze communes du canton de Saint-Gilles-Croix-de-Vie, CĂŽte-de-LumiĂšre et Atlancia, dĂ©cident de fusionner[82] pour donner naissance le 1er janvier 2010 Ă  la communautĂ© de communes du Pays-de-Saint-Gilles-Croix-de-Vie[83]. Gendarmerie Jumelages Saint-Gilles-Croix-de-Vie est jumelĂ© avec la commune de GozĂłn Espagne depuis 2006[84] et entretient des relations privilĂ©giĂ©es depuis les annĂ©es 1980 avec la ville de Montrichard, prĂšs de Blois Loir-et-Cher. Population et sociĂ©tĂ© DĂ©mographie En 2006, la commune n'est pas la plus peuplĂ©e du canton de Saint-Gilles-Croix-de-Vie la commune limitrophe de Saint-Hilaire-de-Riez compte alors 10 063 habitants selon l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques[85]. Cette commune Ă©tant plus Ă©tendue, Saint-Gilles-Croix-de-Vie est toutefois plus densĂ©ment peuplĂ© 710 habitants au kmÂČ contre 206.[Passage Ă  actualiser] En 1999, l'aire urbaine de Saint-Gilles-Croix-de-Vie compte 22 262 habitants, soit la 31e par taille des 50 aires urbaines de l'Ouest de la France rĂ©gions Bretagne et Pays de la Loire. Pendant les annĂ©es 1990, elle a enregistrĂ© la plus forte croissance dĂ©mographique des aires urbaines de l'Ouest[86].[Passage Ă  actualiser] Évolution dĂ©mographique L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations lĂ©gales des communes sont publiĂ©es annuellement par l'Insee. Le recensement repose dĂ©sormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une pĂ©riode de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[87]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[88]. En 2019, la commune comptait 7 862 habitants[Note 3], en augmentation de 5,26 % par rapport Ă  2013 VendĂ©e +4,57 %, France hors Mayotte +2,17 %. Évolution de la population [ modifier ] 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 6657157909551 0161 0611 0501 1201 091 Évolution de la population [ modifier ], suite 1 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1 0801 1401 2701 4201 4611 5301 7151 8161 783 Évolution de la population [ modifier ], suite 2 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1 7261 8521 8591 7641 8331 9212 0882 4383 029 Évolution de la population [ modifier ], suite 3 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 3 2926 1786 7256 1596 2966 7977 1897 2817 230 Évolution de la population [ modifier ], suite 4 2014 2019 - - - - - - - 7 5307 862- Histogramme de l'Ă©volution dĂ©mographique Pyramide des Ăąges La population de la commune est relativement ĂągĂ©e. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  19,6 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale 31,6 %. À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 53,9 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 31,0 % au niveau dĂ©partemental. En 2018, la commune comptait 3 502 hommes pour 4 257 femmes, soit un taux de 54,87 % de femmes, largement supĂ©rieur au taux dĂ©partemental 51,16 %. Les pyramides des Ăąges de la commune et du dĂ©partement s'Ă©tablissent comme suit. Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[91]HommesClasse d’ñgeFemmes1,8 90 ou + 4,4 17,0 75-89 ans 20,8 30,5 60-74 ans 32,5 15,5 45-59 ans 15,2 12,0 30-44 ans 10,6 11,8 15-29 ans 8,2 11,3 0-14 ans 8,3 Pyramide des Ăąges du dĂ©partement de la VendĂ©e en 2018 en pourcentage[92]HommesClasse d’ñgeFemmes0,8 90 ou + 2,1 8,4 75-89 ans 11 19,5 60-74 ans 20,4 20 45-59 ans 19,4 18 30-44 ans 17,1 14,9 15-29 ans 13,2 18,5 0-14 ans 16,8 GentilĂ©s Ses habitants sont appelĂ©s les Gillocruciens et les Gillocruciennes. Avant l'unification en 1967 de Saint-Gilles-sur-Vie et de Croix-de-Vie, on parlait respectivement des Croixdeviaux et des Croixdeviottes pour les habitants de Croix-de-Vie et des Giras ou des Girases ou encore des Gillais et des Gillaises pour ceux de Saint-Gilles-sur-Vie[93]. En 1999, 4,7 % des 9 594 navettes domicile - travail sont effectuĂ©es en transport collectif dans l'aire urbaine de Saint-Gilles-Croix-de-Vie[94] contre 4,3 % dans l'ensemble de la rĂ©gion Pays de la Loire[95]. Enseignement Les Ă©tablissements d'enseignement de la ville de Saint-Gilles-Croix-de-Vie relĂšvent de l'acadĂ©mie de Nantes qui correspond Ă  la rĂ©gion Pays de la Loire zone A. Saint-Gilles-Croix-de-Vie compte quatre Ă©coles Ă©lĂ©mentaires, deux collĂšges et un Ă©tablissement d'enseignement professionnel. ÉlĂ©mentaires La ville administre deux Ă©coles Ă©lĂ©mentaires communales Edmond-Bocquier » et Les Salines construite dans quartier des Salines en 1993 pour remplacer celle du quartier de la gare depuis dĂ©truite[96],[97] ». En 2011-2012, l'Ă©cole Ă©lĂ©mentaires Edmond-Bocquier » accueille 115 Ă©lĂšves soit quatre classes en maternelle et 163 Ă©lĂšves pour sept classes en primaire, auxquels s'ajoutent 10 Ă©lĂšves en classe d'intĂ©gration scolaire[97] ; l'Ă©cole des Salines » compte 80 Ă©lĂšves soit trois classes en maternelle, 111 Ă©lĂšves soit 5 classes en primaire[98]. S'ajoutent ajoutent deux Ă©coles Ă©lĂ©mentaires privĂ©es catholiques sous contrat La Chapelle » issue de la fusion de l'Ă©cole Pierre-Joubert et de l'Ă©cole Saint-Joseph en 1996 puis de l'Ă©cole maternelle ImmaculĂ©e-Conception au dĂ©but des annĂ©es 2000 ; et l'Ă©cole Sainte-Croix » issue de la fusion de l'Ă©cole Sainte-Croix et de l'Ă©cole Saint-Louis Ă  la rentrĂ©e 1988. En 2010-2011, l'Ă©cole Sainte-Croix » accueille un total de 108 Ă©lĂšves soit cinq classes et l'Ă©cole La Chapelle » compte 254 Ă©lĂšves soit dix classes[96],[97]. Secondaire La ville compte deux collĂšges l'un public gĂ©rĂ© par le conseil gĂ©nĂ©ral de la VendĂ©e le collĂšge Pierre-Garcie-Ferrande[99] », qui compte au cours de l'annĂ©e scolaire 2008‑2009 573 Ă©lĂšves soit vingt-cinq classes[100]. l'autre collĂšge d'enseignement privĂ© catholique, le collĂšge Saint-Gilles » dit Les Épinettes ». Revendiquant une zone de recrutement des Ă©lĂšves rĂ©partie dans quinze communes », le collĂšge compte au cours de l'annĂ©e 2008-2009 1038 Ă©lĂšves soit quarante classes[101]. Professionnel La ville compte un centre de formation en apprentissage la maison familiale rurale d'apprentissage La BouchĂšre[102] » Par ailleurs, la ville compte un pĂŽle de formation de navigateurs de course Ă  la voile, le PĂŽle VendĂ©e France[103]. Associations Diverses associations culturelles, sportives ou caritatives animent la vie locale. DĂ©but 2009, l'annuaire des associations rĂ©pertorie cent trente entitĂ©s, dont trente Ă  thĂ©matique sportive fĂ©dĂ©rĂ©es par l'Office municipal des sports OMS[104]. Cultes Église Saint-Gilles en septembre 2007. MarchĂ© cĂŽtĂ© Croix-de-Vie en octobre 2008. À l'arriĂšre-plan l'Ă©glise Sainte-Croix. La commune est Ă©quipĂ©e de deux lieux de culte catholiques, situĂ©s de part et d'autre de la Vie les Ă©glises Saint-Gilles et Sainte-Croix. Saint-Gilles-Croix-de-Vie appartient au diocĂšse de Luçon, qui correspond au dĂ©partement de la VendĂ©e et qui est lui-mĂȘme rattachĂ© Ă  la province ecclĂ©siastique de Rennes[105]. Elle est le siĂšge d'un doyennĂ© qui regroupe quatre paroisses Sainte Anne de Riez » autour de Saint-Hilaire-de-Riez, Saint Jean du GuĂ© Gorand » autour de CoĂ«x, Saint Nicolas de l'OcĂ©an » autour de BrĂ©tignolles-sur-Mer et Notre Dame de la Vie » autour de Saint-Gilles-Croix-de-Vie[106]. Cette derniĂšre compte quatre clochers les deux Ă©glises Saint-Gilles et Sainte-Croix ainsi que les Ă©glises du Fenouiller et de Givrand. Au milieu XVIe siĂšcle, une Église rĂ©formĂ©e soutenant la RĂ©forme protestante et plus particuliĂšrement Jean Calvin est dressĂ©e » Ă  Saint-Gilles-sur-Vie avant d'ĂȘtre dĂ©molie en novembre 1665 comme un total de dix-sept temples du Bas-Poitou rĂ©gion correspondant au dĂ©partement de la VendĂ©e[108],[109]. MarchĂ©s Toute l'annĂ©e, cinq marchĂ©s hebdomadaires en plein air ont lieu alternativement prĂšs des deux Ă©glises de la commune[110] Place du Vieux-Port et place de MarchĂ©-aux-Herbes cĂŽtĂ© Saint-Gilles les mardis, jeudis et dimanches matin, Place Guy-Kergoustin cĂŽtĂ© Croix-de-Vie les mercredis et samedis matin. En outre, tous les jours de 20 h Ă  0 h en juillet et aoĂ»t, un marchĂ© de nuit est proposĂ© cĂŽtĂ© Saint-Gilles, quai du Port FidĂšle et place du Vieux Port. Des artisans divers y vendent divers souvenirs et autres produits essentiellement locaux. SantĂ© et centre de secours Outre les professionnels de la santĂ© travaillant dans la commune, notamment des mĂ©decins, des pharmaciens et des chirurgiens-dentistes, Saint-Gilles-Croix-de-Vie compte un hĂŽpital local, rue LaĂ«nnec[111]. GĂ©rĂ© par une association prĂ©sidĂ©e par un membre du conseil municipal, celui-ci ne dispose pas d'un service dit d'urgences, qui sont traitĂ©s par les hĂŽpitaux les plus proches les centres hospitaliers de Challans ou des Sables-d'Olonne, le centre hospitalier dĂ©partemental de La Roche-sur-Yon ou les cliniques de La Roche-sur-Yon et de ChĂąteau-d'Olonne. AprĂšs dix ans de travaux, l'hĂŽpital est inaugurĂ© le 1er mars 1899, quinze ans et cinq mois jour pour jour aprĂšs la mort d'Émile AimĂ© Torterue. DĂ©cĂ©dĂ© le 1er octobre 1984, ce particulier lĂšgue sa fortune Ă  la commune de Saint-Gilles-sur-Vie en Ă©change de la construction d'un hospice commun avec Croix-de-Vie destinĂ© aux malades pauvres des deux communes. DotĂ© d'un oratoire en juin 1899, le bĂątiment est agrandi en 1904, puis en 1933, et Ă©lectrifiĂ© en 1932[112]. Dans les annĂ©es 1970, l'hospice devient un hĂŽpital local, puis un Ă©tablissement public de santĂ© en 2009. DĂ©but 2010, l'Ă©tablissement compte 204 lits 85 pour des hospitalisations de longues durĂ©es, respectivement 29 et 10 pour des moyens et des courts sĂ©jours, et 80 lits en maison de retraite[113]. Par ailleurs, la commune compte un centre de rĂ©adaptation fonctionnelle la villa Notre-Dame. Construit en 1893 dans un terrain au nord de la grande plage », la villa Notre-Dame est d'abord un centre de soin pour la congrĂ©gation religieuse Saint Charles basĂ©e Ă  Angers[114]. Vers 1900, le nantais Pierre Waldeck-Rousseau, alors prĂ©sident du Conseil, y suit une cure de bains chauds d'eau de mer »[115]. AprĂšs la PremiĂšre Guerre mondiale, l'Ă©crivain RenĂ© Bazin y sĂ©journe quelque temps[115]. En 1910, elle s'ouvre aux autres malades et devient un sanatorium, un Ă©tablissement mĂ©dical spĂ©cialisĂ© dans le traitement de la tuberculose. AprĂšs avoir Ă©tĂ© occupĂ© par l'armĂ©e allemande pendant la Seconde Guerre mondiale, le centre s'agrandit dans les annĂ©es 1950 avec la construction d'un pavillon Lazaret » et d'un pavillon des enfants ». Une association Ă  but non lucratif est mise en place pour en assurer la gestion. Ce sanatorium devient dans les annĂ©es 1970 un centre de rĂ©adaptation fonctionnelle de 90 lits. IntĂ©grĂ© au service public hospitalier en 2000, il est gĂ©rĂ© par les Mutuelles de VendĂ©e Ă  partir de 2007[114]. En 2010, 23 lits en rééducation fonctionnelle sont transfĂ©rĂ©s vers Nantes mais ces dĂ©parts doivent ĂȘtre compensĂ© par l’ouverture de 15 lits en soins[116]. En mars 2021, pour pallier le manque de mĂ©decins gĂ©nĂ©ralistes, la ville met en place un Centre Municipal de SantĂ©[117], en collaboration avec l'association "La Fabrique des Centres de SantĂ©"[118] accueillant Ă  partir du mois de juillet 3 mĂ©decins salariĂ©s. Selon une Ă©tude, prĂšs de 10% des habitants n'avaient pas de mĂ©decins rĂ©fĂ©rents avant l'ouverture de ce centre. Sports et loisirs Multiplexe aquatique Rue de la Rabalette, la commune accueillait une piscine intercommunale de la SoudiniĂšre dotĂ©e entre autres d'un bassin de 25 par 10 mĂštres[119]. Elle a Ă©tĂ© remplacĂ©e par un Ă©quipement intercommunal le Multiplexe aquatique du Pays de Saint Gilles Croix de Vie[120], 4 rue du Guitton, Ă  Saint Hilaire-de-Riez. InaugurĂ©e en 2017, son architecture a reçu le 1er prix de la plus belle piscine municipale du monde lors du POOL DESIGN AWARDS 2018[121] les 17 et 20 novembre 2018[122]. Nautisme Vue globale de Saint-Gilles-Croix-de-Vie, avec Port la Vie au premier plan. La Semvie Nautisme » propose diverses activitĂ©s de sport de loisir liĂ©es au monde maritime dans sept sites diffĂ©rents dont quatre dans la commune[123] L'Ă©cole de surf est situĂ©e Ă  la grande plage », cĂŽtĂ© Saint-Gilles. Les cours de char Ă  voile se dĂ©roulent au niveau de la jetĂ©e de la Garenne Ă  la grande plage ». L'Ă©cole de voile est situĂ© Ă  la plage de Boisvinet », cĂŽtĂ© Croix-de-Vie. L'Ă©cole de croisiĂšre est basĂ©e au port de plaisance Port la Vie ». D'autres activitĂ©s sont organisĂ©es dans les communes voisines de Saint-Hilaire-de-Riez et BrĂ©tignolles-sur-Mer. Depuis 1997, le port accueille tous les deux ans le VendĂ©e-DĂ©fi », une course contre la montre consistant en un aller-retour entre Saint-Gilles-Croix-de-Vie et L'Île-d'Yeu[124]. De plus, Saint-Gilles-Croix-de-Vie accueille Ă  trois reprises la Solitaire du Figaro. En 2004, elle est la ville d'arrivĂ©e de la 2e Ă©tape en provenance de Portsmouth Royaume-Uni et de dĂ©part de la 3e Ă©tape en direction de GijĂłn Espagne[125]. En 2006, elle est la ville d'arrivĂ©e de la 2e Ă©tape en provenance de Santander Espagne et de dĂ©part de la 3e Ă©tape en direction de Dingle Irlande[126]. En 2009, pour la 40e Ă©dition de cette course Ă  la voile en solitaire, elle est la ville d'arrivĂ©e de la 2e Ă©tape en provenance de La Corogne Espagne et de dĂ©part de la 3e Ă©tape en direction de Dingle Irlande[127]. Enfin, dans le cadre du Championnat de France de course au large en solitaire, la ville accueille[prĂ©cision nĂ©cessaire] la Route du Ponant » un parcours de 300 milles autour des Ăźles de RĂ©, d'Yeu, de Belle-Île-en-Mer et de Groix[124]. Mi-mai 2010, la commune accueille le dĂ©part du VendĂ©e-Saint-PĂ©tersbourg, une rĂ©gate en multicoque 50 pieds[128]. Par ailleurs, depuis juin 2010, Saint-Gilles-Croix-de-Vie accueille centre de formation sportive et professionnelle de navigateurs de course Ă  la voile, le PĂŽle VendĂ©e France[103]. Économie Saint-Gilles-Croix-de-Vie a une Ă©conomie diversifiĂ©e mais tournĂ©e vers la mer comme les autres communes littorales de l'arrondissement des Sables-d'Olonne. La pĂȘche et le tourisme sont deux activitĂ©s importantes, qui dopent d'autres secteurs tels que la construction navale, la restauration ou encore l’hĂŽtellerie[129]. ActivitĂ©s portuaires Une installation portuaire, le quai de la Barre », est Ă©voquĂ©e pour la premiĂšre fois dans des documents de la fin du XVIe siĂšcle[27]. AprĂšs la construction dans les annĂ©es 1600 du grand mĂŽle » et le quai neuf de Madame » long respectivement de 32 et 39 mĂštres, un Ă©peron ouvrage en pointe qui sert Ă  rompre le cours de l’eau de 97 mĂštres est bĂąti Ă  la fin du XVIIe siĂšcle avant un autre, le petit mĂŽle » en 1805-1810. PĂȘche La pĂȘche a la sardine de Saint-Gilles-Croix-de-Vie * Inventaire du patrimoine culturelimmatĂ©riel en France Le port de pĂȘche vu depuis Saint-Gilles en avril 2007 Domaine Savoir-faire Lieu d'inventaire * Descriptif officiel MinistĂšre de la Culture France La criĂ©e du port de pĂȘche en avril 2007. GĂ©rĂ© par la Chambre de commerce et d'industrie de la VendĂ©e Ă  partir de 1945[130], le port de pĂȘche est modernisĂ© dans les annĂ©es 1990, avec notamment la mise aux normes europĂ©ennes de la criĂ©e d'une surface de 3 000 m2[131]. Le centre des marĂ©es s'Ă©tend sur 6 000 m2 au sol 9 000 m2 sur deux niveaux[130] avec treize ateliers de mareyage. Il compte deux darses de quatre hectares bassins rectangulaires pour l'accostage des navires datant respectivement de 1948-1950 et de 1978[27] et un slipway pente douce, abritĂ© par une jetĂ©e de 250 m[132]. Une poissonnerie est construite aprĂšs des incidents en 1873 entre pĂȘcheurs et conserveurs les premiers reprochent aux seconds de fixer arbitrairement les prix et de rĂ©partir les cargaisons de poissons Ă  leur avantage[133]. À partir de 1888, tous les poissons transitent obligatoirement par la criĂ©e[134]. Le port de pĂȘche a une longue tradition dans la pĂȘche Ă  la sardine qui remonte au XVIIIe siĂšcle. À partir des annĂ©es 1630, les pĂȘcheurs pratiquent surtout la pĂȘche Ă  la morue, avant que ce poisson ne se fasse plus rare et que les pirates deviennent plus nombreux Ă  menacer les marins[64]. Le XIXe siĂšcle constitue l'apogĂ©e de cette activitĂ© autour de l'ortolan des mers » avec l'arrivĂ©e d'une nouvelle technique de conservation mise au point par Nicolas Appert[135]. La premiĂšre conserverie mettant en boĂźte principalement des sardines apparait entre 1828 et 1832, la premiĂšre usine en 1847[133]. En 1852, la commune compte deux conserveries, quatre en 1870 puis dix en 1880 et treize en 1888 avant le dĂ©clin de cette activitĂ© Saint-Gilles-Croix-de-Vie ne compte plus que six conserveries en 1909 et deux en 1999,[133]. En 2001, la conserverie Gendreau, créée en 1903, obtient le label rouge[131] la sardine est le premier animal sauvage en boite Ă  obtenir cette distinction et Saint-Gilles-Croix-de-Vie devient alors un site remarquable du goĂ»t »[136]. AprĂšs une sĂ©rie de mauvaises campagnes de pĂȘche entre 1879 et 1887, les marins se reconvertissent dans la pĂȘche au thon[134]. Cette activitĂ© connaĂźt son apogĂ©e dans les annĂ©es 1960 oĂč 147 marins travaillent dans 26 thoniers. En 1814, le port de Saint-Gilles compte huit navires de 25 Ă  50 tonneaux et vingt-cinq chaloupes destinĂ©es Ă  la pĂȘche Ă  la sardine, puis soixante-dix chaloupes en 1870 et deux cent dix en 1879[64]. En 1990, cent vingt quatre navires ramĂšnent 8 000 Ă  10 000 tonnes de poissons par an contre 1 000 Ă  2 000 tonnes rĂ©coltĂ©es par deux cent navires en 1929[130]. QuatorziĂšme port français en 2007, Saint-Gilles-Croix compte prĂšs de 70 navires de pĂȘches, dans lesquels travaillent prĂšs de 160 marins[137]. En 2009, la sardine fait toujours vivre 300 familles, selon le maire de la commune[136]. En 2007, la sardine est de loin la principale espĂšce vendue Ă  la criĂ©e 1 250 tonnes devant le merlan 295 tonnes, le congre 240 tonnes et le bar 185 tonnes[132]. Au total, 3 807 tonnes de poissons reprĂ©sentant plus de 9,5 millions d'euros sont vendus Ă  Saint-Gilles-Croix-de-Vie contre 6 938 tonnes plus de 16,1 millions d'euros en 2004. La pĂȘche Ă  l'anchois est arrĂȘtĂ©e Ă  partir de 2005 Ă  la suite de restrictions au sein de l'Union europĂ©enne ce poisson gĂ©nĂšre alors 60 % des revenus du port, le deuxiĂšme le plus important de France pour ce poisson[138]. En 2018, la pĂȘche Ă  la sardine Ă  Saint-Gilles-Croix-de-Vie a Ă©tĂ© intĂ©grĂ©e Ă  l'inventaire du patrimoine culturel immatĂ©riel en France[139]. Plaisance Port La Vie » Le port de plaisance Port La Vie » cĂŽtĂ© Saint-Gilles en septembre 2007. Port La Vie », le port de plaisance, un soir de juin 2007 depuis la dune de la Grande Plage. Au premier plan, la promenade Marie de Beaucaire. Dans les annĂ©es 1960, la plaisance se dĂ©veloppe parallĂšlement Ă  la pĂȘche[140]. La municipalitĂ© dĂ©cide en 1971 d'amĂ©nager un port de plaisance dans l'embouchure de la Vie, alors occupĂ©e par une vasiĂšre. La premiĂšre pierre est posĂ©e en octobre 1974[141]. GĂ©rĂ© depuis 1981 par la sociĂ©tĂ© d'Ă©conomie mixte SEMVIE SEMIPORT jusqu'en 1985[142], Port La Vie » se dĂ©finit comme un port de plaisance en eau profonde accessible Ă  toute heure de la marĂ©e »[143]. GĂ©rĂ© par une capitainerie, il compte en 2009 onze pontons numĂ©rotĂ©s de 0 Ă  10 neuf sont situĂ©s du cĂŽtĂ© de Croix-de-Vie, deux du cĂŽtĂ© de Saint-Gilles[144]. Une aire de carĂ©nage mis en service en 1997 permet le nettoyage de la partie habituellement immergĂ©e de la coque des navires[145]. En 1985, le port dispose de 600 places dans ses pontons et 100 autres dans des filiĂšres[141]. AprĂšs une nouvelle extension achevĂ©e en juin 2009[146], le port compte 1 000 anneaux auxquels s'ajoutent 100 places d'accueil[143]. À la fin des annĂ©es 2000, 3 500 bateaux s'y amarrent par an[147]. Deux pontons no 7 et no 8 peuvent ĂȘtre mobilisĂ©s pour accueillir des courses Ă  voile[145], comme la Solitaire du Figaro. Construction navale SiĂšge du groupe BĂ©nĂ©teau Ă  Saint-Gilles-Croix-de-Vie 16, boulevard de la Mer en septembre 2007. La construction navale est une activitĂ© Ă©conomique importante dans la commune, incarnĂ©e par la prĂ©sence depuis 2003[148] du siĂšge du groupe BĂ©nĂ©teau, spĂ©cialisĂ© dans la construction de bateaux de plaisance, de voiliers de luxe et de mobile-homes. Le siĂšge des chantiers BĂ©nĂ©teau est quant Ă  lui situĂ© Ă  Saint-Gilles-Croix-de-Vie. Les premiers bateaux de la marque devenu leader mondial dans le domaine des bateaux Ă  voile sont fabriquĂ©s Ă  Croix-de-Vie en 1884. Sur la rive droite de la Vie, Benjamin BĂ©nĂ©teau fonde son premier chantier naval artisanal pour construire des chalutiers Ă  voile pour les marins-pĂȘcheurs puis des thoniers Ă  moteur[149]. DĂ©but 2009, l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques explique notamment par cette prĂ©sence historique du groupe BĂ©nĂ©teau dans la commune le fait que la rĂ©gion Pays de la Loire compte au total 9 000 salariĂ©s dans le secteur de la construction navale, dont un peu moins de la moitiĂ© des 9 500 personnes travaillant en France dans la construction de bateaux de plaisance[150]. Tourisme La station balnĂ©aire dispose au total d'une capacitĂ© d'hĂ©bergement de 35 000 personnes essentiellement en rĂ©sidence secondaire[137] sa population de 7 000 habitants pendant l'annĂ©e est quadruplĂ©e en Ă©tĂ©, voire multipliĂ©e par dix en comptant les personnes de passage[151]. Depuis 1993, des visites commentĂ©es de la ville, des marais et de la corniche sont proposĂ©es en petit train circulant sur pneus[152]. Autres La saliculture est relativement importante dans tout le canton de Saint-Gilles-Croix-de-Vie, particuliĂšrement dans la commune de Saint-Hilaire-de-Riez. Les premiers marais salants remontent au VIIe siĂšcle voire Ă  l'Ă©poque gauloise[153]. Entre autres commerces, la ville dispose de deux hypermarchĂ©s un Hyper U et un remplacĂ© en mai 2010 par un autre magasin plus grand et moderne[154]. Saint-Gilles-Croix-de-Vie obtient trois fleurs au palmarĂšs 2008 publiĂ© dĂ©but 2009 du Concours des villes et villages fleuris[155]. Culture, patrimoine et tourisme Patrimoine religieux catholique Église Sainte-Gilles Église Saint-Gilles en novembre 2011. Construite au IXe siĂšcle pour les moines de Saint-Michel-en-l'Herm ou de Saint-Gilles-du-Gard, une premiĂšre Ă©glise fortifiĂ©e est dĂ©truite pendant les guerres de religion, Ă  l'exception du clocher et du cĂŽtĂ© droit de la nef[156]. Ce bas-cĂŽtĂ© nord et le clocher sont classĂ©s monument historique en 1926[157]. Reconstruite en 1613, l'Ă©glise Saint-Gilles est restaurĂ©e en 1873[156] puis en 1977[158]. Dans le bas-cĂŽtĂ© nord, un vitrail du XVIIe siĂšcle, Victoire de Louis XIII sur l'armĂ©e de Sourise prĂšs de Saint-Gilles – 16 avril 1622, reprĂ©sentant une bataille des guerres de religions en France dans les marais vendĂ©ens, est classĂ© en 1927 puis dĂ©classĂ©[159]. L'Ă©glise contient aussi une copie du tableau La Vierge au Lapin de Titien exposĂ©e au musĂ©e du Louvre cette copie est peinte en 1900 par Charles Atamian 1872 - 1947 puis donnĂ©e par la famille du peintre en avril 1993[160]. Un chemin de croix, composĂ© de quatorze tableaux et d'une fresque en plaque de lave, est rĂ©alisĂ© en 1979 par l'artiste local Henry Simon[158]. Église Sainte-Croix Église Sainte-Croix en octobre 2008. D'architecture nĂ©o-byzantine et bĂątie au XIXe siĂšcle, l'Ă©glise Sainte-Croix de Croix-de-Vie est restaurĂ©e en 1983[161]. Elle compte notamment une imposante chaire rĂ©alisĂ©e par LĂ©on des Ormeaux[62], le tableau La dĂ©position de croix, peint Ă  l'huile en 1895 par Charles Milcendeau 1872 - 1919 et classĂ© monument historique en 1985[162], ainsi qu'une croix et sa hampe de procession 2,4 mĂštres de haut et 40 cm de large datant du XVIIe siĂšcle et classĂ©e en 1975[163]. La premiĂšre chapelle bĂątie de 1611 Ă  1613 sous l'impulsion de Marie de Beaucaire est agrandie au XIXe siĂšcle avec la construction de deux chapelles latĂ©rales et d'un clocher. En 1896, l'Ă©glise Sainte-Croix est bĂątie selon les plans de l'architecte Mesnard sur un axe nord-sud afin de dĂ©gager la place du marchĂ© », le cimetiĂšre Ă©tant alors dĂ©placĂ© vers son emplacement quai Gorin[164]. L'Ă©glise Sainte-Croix comporte aussi un orgue construit en 1982 par Philippe Emeriau et installĂ© en 1983, propriĂ©tĂ© de la commune. Avec dix-neuf jeux dont sept installĂ©s en 1993, une tuyauterie en Ă©tain et en plomb, en bois pour les pĂ©dales et la 1re octave des claviers manuels, l'instrument est harmonisĂ© dans un tempĂ©rament lĂ©gĂšrement inĂ©gal 8 quintes justes et son esthĂ©tique sonore est plutĂŽt baroque allemande » indique la paroisse[165]. Un tableau La Vierge et l'enfant JĂ©sus adorĂ©s par les Saints par De Bury d'aprĂšs Titien envoyĂ© par l'État en 1898 est Ă©galement prĂ©sent[166], tout comme une statue en bois de Notre-Dame-du-Bon-Port, sauvegardĂ©e de l'ancienne chapelle[161]. Monuments et sites touristiques La petite tour dite Tour JosĂ©phine » en septembre 2007. NommĂ©e en hommage Ă  JosĂ©phine de Beauharnais 1763 - 1814, impĂ©ratrice des Français, la tour JosĂ©phine est le premier phare de la ville. De 8 mĂštres de haut, il comporte une lanterne de 3,5 mĂštres. Construite au dĂ©but des annĂ©es 1850 aprĂšs une demande formulĂ©e en 1837 par 16 capitaines du port de Croix-de-Vie, cette tour est mise en service en 1852 jusqu'en 1880, puis restaurĂ©e en 2001 par le Conseil gĂ©nĂ©ral de la VendĂ©e. Un jardin public autour de cette tour est ouvert en 2003[168]. Le menhir de la Tonnelle au sein du cimetiĂšre de Croix-de-Vie en novembre 2011. Datant du NĂ©olithique, le menhir de la Tonnelle, situĂ© dans le cimetiĂšre de Croix-de-Vie autrefois dans la commune de Saint-Hilaire-de-Riez, est classĂ© par arrĂȘtĂ© en 1921[169]. La tombe du docteur Marcel Baudouin, qui a fait installer le menhir Ă  cet endroit, se trouve Ă  proximitĂ©[170]. La maison du pĂȘcheur reconstitue l'habitation typique d'une famille de marins des annĂ©es 1920. BĂąti en 1913 et ouvert au public en 1993, ce bĂątiment de deux piĂšces auquel s'ajoute une cour est Ă©quipĂ© de meubles, vaisselles et vĂȘtements d'Ă©poque. Il est situĂ© rue du Maroc, dans un quartier qui doit son nom aux Maures d'Espagne, les Marocains » arrivĂ©s dans la citĂ© au XVIe siĂšcle[172]. Cabines de plage au remblai de la grande plage » cĂŽtĂ© Saint-Gilles avenue Maurice-Perray en juillet 2019. Plages La station balnĂ©aire de Saint-Gilles-Croix-de-Vie compte quatre plages[173] La grande plage », cĂŽtĂ© Saint-Gilles, est une longue plage de sable fin orientĂ©e vers l'ouest et s'Ă©tirant sur 3,6 kilomĂštres de la jetĂ©e de la Garenne jusqu'Ă  Bretignolles-sur-Mer. Au centre, un remblai amĂ©nagĂ© compte de nombreux bars et restaurants. Au nord et surtout au sud s'Ă©tend une dune cĂŽtiĂšre balisĂ©es par divers chemins. La plage de Boisvinet », cĂŽtĂ© Croix-de-Vie, est orientĂ©e vers le sud, relativement bien abritĂ©e, et situĂ©e entre la jetĂ©e du port et la corniche vers Saint-Hilaire-de-Riez. La petite plage », Ă  l'est de la prĂ©cĂ©dente, est situĂ©e Ă  l'entrĂ©e du port au niveau de la tour JosĂ©phine. La plage de la Pelle Ă  Porteau », Ă  l'ouest de la plage de Boisvinet », est en fait une crique au niveau la corniche vers Saint-Hilaire-de-Riez, prisĂ©e par les amateurs de pĂȘche Ă  pied. À la grande plage » et la plage de Boisvinet », la baignade est surveillĂ©e en saison par des CRS. La grande plage » est apprĂ©ciĂ©e des surfeurs pour ses vagues, tandis que les amateurs de voile disposent d'un chenal Ă  la plage de Boisvinet » pour rejoindre le large. JetĂ©es Le port de Saint-Gilles-Croix-de-Vie est protĂ©gĂ© par deux jetĂ©es celle de la Garenne avance de la dune Ă©ponyme vers le sud-ouest tandis que celle de Boisvinet referme en partie l'entrĂ©e du port suivant un axe quasiment nord-sud. La jetĂ©e de la Garenne est construite par Ă©tapes Ă  partir du XIXe siĂšcle[174]. Auparavant, l'entrĂ©e du port est souvent obstruĂ©e par des bancs de sable, ce qui incite Ă  rĂ©duire la largeur du chenal par un ouvrage d'art susceptible d'accroĂźtre la force de chasse des eaux Ă  la marĂ©e descendante. Entre 1837 et 1840, un premier tronçon de la jetĂ©e de la Garenne est bĂąti sur 160 mĂštres. AprĂšs le surplus de sable apportĂ© par la tempĂȘte de 1865, l'ouvrage est prolongĂ© entre 1867 et 1880 sur 400 mĂštres, dont 100 mĂštres au-delĂ  de la laisse, l'espace laissĂ© Ă  dĂ©couvert Ă  chaque marĂ©e basse. De 1957 Ă  1958, la jetĂ©e de la Garenne est reconstruite aprĂšs les dĂ©gĂąts subis pendant la Seconde Guerre mondiale en gagnant 45 mĂštres supplĂ©mentaires. Enfin, en 1989, elle est prolongĂ©e une troisiĂšme fois sur 250 mĂštres. La jetĂ©e de Boisvinet est construite entre 1880 et 1883[174]. Le remblai avenue Maurice-Perray et la grande plage » cĂŽtĂ© Saint-Gilles en juillet 2019. Remblai et phares En 1925, des fonds privĂ©s permettent la construction d'un remblai Ă  Saint-Gilles-sur-Vie entre la villa Notre-Dame et le chalet La Plage » sur 170 mĂštres le long de la grande plage ». Au sud de celui-ci, un deuxiĂšme remblai est construit sur 205 mĂštres avec le financement de l'association syndicale de la Garenne de Retz[175]. Ces deux ouvrages sont reliĂ©s en 1962 par un remblai de 130 mĂštres bĂąti par la commune, l'ensemble Ă©tant prolongĂ© en 1966 sur 325 mĂštres puis en 1977-1978 sur 177 mĂštres. Outre la Tour JosĂ©phine en service au XIXe siĂšcle, la commune compte le feu de Grosse-Terre » au nord ainsi qu'un phare blanc surmontĂ© d'un balcon rouge en centre-ville,, ainsi qu'un phare au bout de la jetĂ©e de la Garenne[rĂ©f. souhaitĂ©e][178]. Patrimoine culturel Équipements culturels InaugurĂ© le 14 avril 2004 sous le parrainage du rĂ©alisateur Jean-Jacques Annaud[179], CinĂ©marine » compte quatre salles de cinĂ©ma de 97 Ă  333 places[180]. Ouvert toute l'annĂ©e et tous les jours sauf le jeudi en dehors des vacances scolaires, il est accessible aux personnes Ă  mobilitĂ© rĂ©duite. Ancienne usine de mise en conserve de la sardine situĂ©e cĂŽtĂ© Croix-de-Vie, la Conserverie est un complexe culturel comportant une salle de spectacle, une salle annexe pour les rĂ©unions et les rĂ©ceptions ainsi qu'une bibliothĂšque municipale installĂ©e dans l'ancien local affectĂ© au sĂ©chage des poissons. RachetĂ© par la commune en 1968, ce bĂątiment datant de 1850 accueille les services techniques de la ville pendant quinze ans avant d'ĂȘtre abandonnĂ©. AprĂšs des tergiversations quant Ă  son usage possible, le site est rĂ©novĂ© et inaugurĂ© en complexe culturel en 1988[136],[181]. La ConfrĂ©rie de la sardine Créée en 1991, la ConfrĂ©rie de la sardine est une confrerie associĂ©e Ă  ce poisson devenu une spĂ©cialitĂ© de Saint-Gilles-Croix-de-Vie. DirigĂ© par un grand maĂźtre, elle entend valoriser les produits de la mer Ă  travers la sardine et promouvoir la station balnĂ©aire »[135]. Le navigateur Michel Desjoyeaux, l'actrice Isabel Otero ou l'homme politique François Fillon font partie des personnalitĂ©s intronisĂ©es par cette confrĂ©rie[182]. Le Hope » Le Hope » est un grĂ©ement, plus prĂ©cisĂ©ment un bateau de pĂȘche de type caseyeur destinĂ© Ă  capturer crevettes, langoustes et autres homards dans ses nasses. D'un longueur totale de 14 mĂštres sur prĂšs de 4 mĂštres de large au maĂźtre-bau, ce navire Ă  voile est construit en 1943 dans les chantiers Thomazeau de Croix-de-Vie. DĂ©sarmĂ© Ă  la fin des annĂ©es 1960, il est achetĂ© une vingtaine d'annĂ©es plus tard par la mairie de Saint-Gilles-Croix-de-Vie avant d'ĂȘtre classĂ© monument historique en janvier 1998[184]. Tout comme la maison du pĂȘcheur, il est gĂ©rĂ© par l'association Suroit. ÉvĂ©nements et festivitĂ©s Depuis 1984, le festival international de jazz Saint-jazz-sur-Vie » se dĂ©roule tous les ans durant le week-end de PentecĂŽte[185]. Depuis 1993, Saint-Gilles-Croix-de-Vie est animĂ©e au printemps et en Ă©tĂ© par le festival La DĂ©ferlante ». Diverses manifestations culturelles gratuites sont organisĂ©es par l'association Ă©ponyme dans neuf stations balnĂ©aires de la rĂ©gion Pays de la Loire Saint-Brevin-les-Pins, Pornic, BarbĂątre, Notre-Dame-de-Monts, Saint-Jean-de-Monts, Saint-Hilaire-de-Riez, Saint-Gilles-Croix-de-Vie, Les Sables-d'Olonne et La Tranche-sur-Mer du nord au sud[186]. Casino Le casino en octobre 2008. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, Saint-Gilles-sur-Vie et Croix-de-Vie comptent chacun un casino respectivement l'Ă©tablissement La Pierrette » prĂšs de la grande plage » et le casino Cosson » prĂšs de la plage de Boisvinet »[60]. Ouvert en 1997, le casino Le Royal Concorde » est situĂ© sur le quai Garcie-Ferrande, le long de la Vie cĂŽtĂ© Saint-Gilles. Outre les diffĂ©rents jeux d'argent proposĂ©s, un bar, un restaurant et une salle de spectacle de 320 places 180 pour un repas complĂštent cet Ă©quipement ouvert toute l'annĂ©e[187],[188]. En aoĂ»t 2007, au plus fort de l'annĂ©e, il enregistre une moyenne de 1 800 entrĂ©es quotidiennes[189]. Le dĂ©partement de la VendĂ©e compte au total cinq casinos, tous situĂ©s dans des communes cĂŽtiĂšres un Ă  Saint-Gilles-Croix-de-Vie, Ă  La Faute-sur-Mer et Ă  Saint-Jean-de-Monts et deux aux Sables-d'Olonne. En 2007, outre les taxes et impĂŽts habituels, ces cinq Ă©tablissements reversent au titre de leurs activitĂ©s liĂ©es aux jeux un total de 25 millions d'euros Ă  l’État et aux quatre communes[189]. En 2005, la Chambre rĂ©gionale des comptes des Pays de la Loire souligne que la commune de Saint-Gilles-Croix-de-Vie pratique un taux de prĂ©lĂšvement sur le produit brut des jeux bien infĂ©rieur Ă  la moyenne nationale 7 % jusqu'Ă  3,66 millions d'euros contre 12 %, ce qui reprĂ©sente un manque Ă  gagner de prĂšs de 300 000 euros sur l’exercice allant de novembre 2001 Ă  octobre 2002, soit 60 % des recettes effectivement perçues[190]. Saint-Gilles-Croix-de-Vie dans la culture L'action de l'opĂ©ra Wanda 1934 du compositeur Émile GouĂ© 1904 - 1946 se situe Ă  Croix-de-Vie.[rĂ©f. souhaitĂ©e] L'action du volume 1 de la bande dessinĂ©e d'Étienne Davodeau Lulu femme nue, sorti en 2008, se dĂ©roule Ă  Saint-Gilles-Croix-de-Vie[191]. La plage de Boisvinet, cĂŽtĂ© Croix-de-Vie, sert de lieu d'intrigue au roman de Jean-Luc Manet intitulĂ© Terminus Plage de Boisvinet sorti en 2005[192]. Entre autres lĂ©gendes locales, Jean-LoĂŻc Le Quellec de la SociĂ©tĂ© de mythologie française cite les fantasmes entourant l’éventuel trĂ©sor du cartographe Pierre Garcie-Ferrande il serait enfoui dans sa propriĂ©tĂ© de Saint-Gilles, mais personne ne se souvient de quelle maison il s’agit exactement »[193]. Une lĂ©gende du XIXe siĂšcle se dĂ©roule Ă  Croix-de-Vie elle Ă©voque le fredet », une cheminĂ©e creusĂ©e par l'ocĂ©an dans les rochers et par laquelle le ressac le retour violent des vagues vers le large jaillit tel un geyser[194]. Costume des Croixdeviottes, 1920. Une lĂ©gende du XIXe siĂšcle se dĂ©roule Ă  Croix-de-Vie Les amoureux tragiques de la corniche vendĂ©enne » est tirĂ©e d'un fait divers des annĂ©es 1830[195]. Hanz, le fils du capitaine d'un bateau norvĂ©gien en escale dans la citĂ© et la fĂ©e Églantine, surnommĂ©e la FrĂ©dette », tombent amoureux. RĂ©embarquĂ© de force, Hanz s'Ă©chappe en mer et revient sur la terre ferme pour rĂ©cupĂ©rer la FrĂ©dette. Mais sur le trajet du retour, leur barque se brise Ă  l'entrĂ©e de la grotte du Jet d'Eau. Hanz repĂȘche Églantine et la dĂ©pose sur la falaise, puis repart Ă  la nage pour rejoindre son pĂšre, raconte Jean-LoĂŻc Le Quellec de la SociĂ©tĂ© de mythologie française. Églantine le suit. Mais Hanz succombe dans les flots dĂ©chaĂźnĂ©s et, cette fois, c'est Églantine qui rapporte son corps Ă  la Pointe du Jet d'Eau, oĂč on l'inhume en terre paĂŻenne. »[196] Au dĂ©but du XXe siĂšcle, Ferdinand Duviard, professeur de littĂ©rature et espĂ©rantophone actif, Ă©crit un livre Cotillons barrĂ©s, retraçant de façon romanesque, la vie des jeunes filles de Croix-de-Vie, portant le cotillon barrĂ©e, sorte de jupe rayĂ©e, portĂ©e courte au-dessus du genou avec des sabots de type sablais et une blouse tout aussi d'inspiration sablaise, Ă©lĂ©gante, aux larges manches[197]. L'histoire des Buveurs d'eau-de-vie-de-singe » en huit cartes postales rĂ©alisĂ©es et Ă©ditĂ©es par madame Boutain. Reprise dans des cartes postales, notamment par la maison Boutain, le conte des Buveurs d'eau-de-vie-de-singe » est parfois prĂ©sentĂ© comme se dĂ©roulant Ă  Saint-Gilles-Croix-de-Vie. La dĂ©couverte d'un singe cachĂ© dans un tonneau d'eau-de-vie se serait en rĂ©alitĂ© produite Ă  Bretignolles-sur-Mer. L'histoire est prĂ©sentĂ©e comme tout aussi rĂ©elle » Ă  Saint-Gilles-Croix-de-Vie qu'Ă  BrĂ©tignolles, Longeville ou La Tranche-sur-Mer mais encore en Bretagne, Charente-Maritime, Normandie, etc. Bref c'est un conte qui se disait dĂ©jĂ  dans l'Égypte du XIIIe siĂšcle et qui doit son succĂšs vendĂ©en Ă  sa contribution aux stratĂ©gies identitaires locales », explique Jean-LoĂŻc Le Quellec de la SociĂ©tĂ© de mythologie française[198]. Une lĂ©gende, dite La part de la Vierge », se dĂ©roule en partie Ă  la chapelle de Croix-de-Vie. Louis, un orphelin, y prie devant la statue de la Vierge Marie portant l'enfant JĂ©sus. Le lendemain puis les jours suivants, il trouve un morceau de pain au pied de la statue, cette nourriture providentielle Ă©tant en fait dĂ©posĂ©e par une paroissienne ayant entendu l'enfant. À l'Ăąge adulte, Louis devient marin et prĂ©lĂšve une partie de ses revenus de pĂȘche pour les reverser Ă  la Vierge en remerciement de son secours. D'autres pĂȘcheurs suivent cette tradition, qui permet en 1900 de rĂ©colter 300 francs pour acheter une sorte de tabernacle pour contenir les hosties consacrĂ©es[199]. HĂ©raldique, logotype et slogan annĂ©es 1990 La Vie douze mois sur douze » depuis les annĂ©es 2000 La Vie Ă  la mer » PersonnalitĂ©s liĂ©es Ă  Saint-Gilles-Croix-de-Vie Henry AbĂ©lanet 1853-1932, mĂ©decin inventeur de la thalassothĂ©rapie Ă  la Villa Notre Dame. Charles Atamian 1872-1947, artiste peintre nĂ© Ă  Constantinople. Il est nommĂ© en 1992 citoyen d'honneur de la ville.[rĂ©f. souhaitĂ©e] Une avenue y porte son nom depuis 1993. Une plaque commĂ©morative mentionne, sur le mur de la villa Mariette[200] qu'il y sĂ©journe de 1923 Ă  1939. Edmond-Mathurin Baudouin, entrepreneur de travaux publics. Il fonde le premier Ă©tablissement de bain Ă  l'eau de mer dans la deuxiĂšme moitiĂ© du XIXe siĂšcle[170]. Marcel Baudouin 1860-1941, fils du prĂ©cĂ©dent, mĂ©decin, journaliste et historien. Il publie plusieurs articles sur la pĂ©trographie de Saint-Gilles-sur-Vie[201],[202]. Une salle d'exposition municipale, l'ancienne mairie de Croix-de-Vie construite en 1865, porte son nom sur la place de la gare[203]. Benjamin BĂ©nĂ©teau. En 1884, il fonde dans la commune les chantiers BĂ©nĂ©teau, spĂ©cialisĂ© dans la construction de bateaux[149]. Annette Roux nĂ©e BĂ©nĂ©teau, petite-fille du prĂ©cĂ©dent. Elle dĂ©veloppe les chantiers qui deviennent le groupe BĂ©nĂ©teau[204]. Marie de Beaucaire 1535-1613, baronne de RiĂ©[205], princesse de Martigues et duchesse de PenthiĂšvre. Épouse de SĂ©bastien de Luxembourg, elle fait construire au XVIIe siĂšcle une chapelle Ă  Croix-de-Vie. Une salle municipale ainsi qu'une promenade portent son nom le long du port cĂŽtĂ© Saint-Gilles[60],[206]. Claire Bretecher 1940-2020, auteure de bande dessinĂ©e, a passĂ© toutes ses vacances d'enfance Ă  Saint Gilles-Croix-de-Vie[207]. Pierre Desproges 1939-1988, humoriste. Il sĂ©journe dans la commune[208]. Pierre Garcie-Ferrande 1430-1520, mort dans la commune, marin et cartographe. Il est considĂ©rĂ© comme le premier hydrographe français[209]. Un buste en son hommage est rĂ©alisĂ© en 1992 initialement installĂ© au pont de la Concorde, il est ensuite dĂ©placĂ© Ă  la promenade amĂ©nagĂ©e cĂŽtĂ© Saint-Gilles entre ce mĂȘme pont et le casino[210]. Charles-François de La Rochefoucauld-Bayers 1753-1825, curĂ© de Saint-Gilles avant la RĂ©volution française Serge Papin, prĂ©sident du groupement de commerçants indĂ©pendants SystĂšme U Ă  partir de 2005. Il est nĂ© et a vĂ©cu sa petite enfance dans la commune en 1955[211]. Narcisse Pelletier 1844-1894, marin nĂ© dans la commune. Dans la deuxiĂšme partie du XIXe siĂšcle, ce jeune giras accomplit un extraordinaire pĂ©riple rapportĂ© dans la presse de l'Ă©poque puis par les historiens locaux[212]. Narcisse Pelletier embarque en 1856 aux Sables-d'Olonne avant de rejoindre Bordeaux puis Marseille oĂč il devient mousse Ă  bord d'un trois mats, le Saint-Paul, en juillet 1857. AprĂšs le naufrage du Saint-Paul, un an plus tard prĂšs de l'Ăźle Rossel, le marin est abandonnĂ© par ses compagnons d'infortune, Ă  l'Ă©tĂ© 1858 au nord-est de l'Australie. Au cap Flattery, il est recueilli dans une tribu aborigĂšne, oĂč, rebaptisĂ© Amglo », il vit pendant dix-sept ans ! En 1875, il est rĂ©cupĂ©rĂ© par un navire anglais, le John Bell, puis remis au consul de France. AprĂšs avoir envoyĂ© trois lettres Ă  ses parents qui le considĂ©raient comme mort, tout en continuant Ă  relancer les agents diplomatiques, celui que la presse australienne surnommera le sauvage blanc » revient en janvier 1876 Ă  Saint-Gilles-sur-Vie ou il sera reçu par l'Ă©vĂȘque de Luçon et ovationnĂ© par la population. Il s'Ă©teignit Ă  l'Ăąge de cinquante ans retirĂ© dans le phare de l'Aiguillon, en baie de St-Nazaire.[213]. Adeline Boutain 1862-1946, photographe et Ă©ditrice de cartes postales. Ses photographies diffusĂ©es par le mĂ©dia des cartes postales, tĂ©moignent de l'histoire de Saint-Gilles-Croix-de-Vie et de sa rĂ©gion de la fin du XIXe siĂšcle au dĂ©but du XXe siĂšcle. Elle tient le Grand bazar de la Tentation, une boutique d'articles de plage et de pĂȘche que ses petits-fils, Yves et Marcel Boutain, cĂ©ramistes, transforment, en 1936, en faĂŻencerie[214]. Une rue de la commune lui est dĂ©diĂ©e. Henry Simon 1910-1987, artiste peintre, cĂ©ramiste et dĂ©corateur. NĂ© dans la commune voisine de Saint-Hilaire-de-Riez, il Ă©tablit son atelier Ă  Saint-Gilles-Croix-de-Vie. Dans la commune, ses Ɠuvres sont notamment exposĂ©es dans les Ă©glises Sainte-Croix et Saint-Gilles ainsi que dans la piscine de la SoudiniĂšre[215]. Marina TsvetaĂŻeva 1892-1941 sĂ©journe Ă  Saint-Gilles-sur-Vie devenu Saint Gilles-Croix-de-Vie d'avril Ă  septembre 1926, en louant une petite maison “Ker-Édouard”, avenue de la Plage[216]. En juin 2012, une statue de bronze de la poĂ©tesse, due au sculpteur russe d'origine gĂ©orgienne Zourab Tsereteli, est inaugurĂ©e quai Garcie-Ferrande[217], en prĂ©sence de l'ambassadeur de Russie[218]. Il existe aussi une allĂ©e Marina-TsvetaĂŻeva. Bernard Virat 1921-2003, vĂ©tĂ©rinaire, biologiste, sous-directeur de l'Institut Pasteur, est mort Ă  Saint-Gilles-Croix-de-Vie oĂč il s'Ă©tait retirĂ©. Charles-François de La Rochefoucauld-Bayers. Adeline Boutain. Marina TsvetaĂŻeva. Pierre Desproges en scĂšne en 1985. Bernard Virat. Voir aussi Bibliographie Ouvrages sur Saint-Gilles-Croix-de-Vie et ses environs AndrĂ©-Hubert HĂ©rault et Jean de Raignac, Histoire du canton de Saint-Gilles-Croix-de-Vie, des origines Ă  l'an 2000, Saint-Gilles-Croix-de-Vie, Ă©ditions de Bonnefonds, septembre 1999, 288 p. ISBN 978-2-9513175-2-9 collectif d'auteurs du canton syndicat mixte Mer et Vie, Le canton de Saint-Gilles-Croix-de-Vie au XIXe et XXe siĂšcles, vol. 1, Saint-Gilles-Croix-de-Vie, Ă©ditions VendĂ©e patrimoine, coll. MĂ©moires des VendĂ©ens », 2008, 304 p. ISBN 978-2-9529395-3-9 Joseph RouillĂ© et Marcel Couton, Au fil de la Vie Saint-Gilles-Croix-de-Vie, Fontenay-Le-Comte, Imprimerie Lussaud frĂšres, 1966, 114 p. Ouvrages sur le dĂ©partement de la VendĂ©e Jean-LoĂŻc Le Quellec prĂ©f. Bernard Sergent, La VendĂ©e mythologique & lĂ©gendaire, Fontenay-Le-Comte, Gest Ă©ditions, 1996, 416 p. ISBN 978-2-910919-37-5 Dominique Auzias, Carole Chollet, Jean-Paul Labourdette et Marie-Madeleine Lauprete, Le Petit FutĂ© VendĂ©e, Paris, Ă©ditions Petit FutĂ©, 2008, 12e Ă©d., 405 p. ISBN 978-2-7469-2177-1, OCLC 470903402, lire en ligne, Saint-Gilles-Croix-de-Vie », p. 328-341 Philippe Courage, Les chemins de fer aux Sables-d'Olonne la desserte de la cĂŽte vendĂ©enne et Saint-Gilles-Croix-de-Vie, 1853-1997, Le PoirĂ©-sur-Vie, Ă©ditions Vents & Marais, 1997, 125 p. ISBN 978-2-84288-010-1 Travaux de recherche et Ă©tudes Claire Brunet, Le littoral de Saint-Gilles-Croix-de-Vie essai de gĂ©omorphologie historique, Saint-Gilles-Croix-de-Vie, ComitĂ© pour la protection de la nature et des sites, 1989 lire en ligne Observatoire rĂ©gional des transports, Les transports dans les Pays de la Loire - Voyageurs MĂ©mento statistique RĂ©sultats 2007, Direction rĂ©gionale de l'Équipement Pays de la Loire, dĂ©cembre 2008, 52 p. lire en ligne Articles connexes Gare de Saint-Gilles-Croix-de-Vie Église Saint-Gilles de Saint-Gilles-sur-Vie Liste des communes de la VendĂ©e Liens externes Site officiel de la commune Site officiel de l’office de tourisme du pays de Saint-Gilles-Croix-de-Vie Site personnel regroupant des cartes postales de Saint-Gilles-Croix-de-Vie Dossier complet Commune de Saint-Gilles-Croix-de-Vie 85222 », Chiffres dĂ©taillĂ©s, INSEE consultĂ© en novembre 2019 Ressources relatives Ă  la gĂ©ographie Insee communes Ldh/EHESS/Cassini Ressources relatives aux organisations SIREN Notes et rĂ©fĂ©rences Notes ↑ Selon le zonage des communes rurales et urbaines publiĂ© en novembre 2020, en application de la nouvelle dĂ©finition de la ruralitĂ© validĂ©e le 14 novembre 2020 en comitĂ© interministĂ©riel des ruralitĂ©s. ↑ La notion d'aire d'attraction des villes a remplacĂ© en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohĂ©rentes avec les autres pays de l'Union europĂ©enne. ↑ Population municipale lĂ©gale en vigueur au 1er janvier 2022, millĂ©simĂ©e 2019, dĂ©finie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de rĂ©fĂ©rence statistique 1er janvier 2019. 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Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran. ↑ a b c d e et f Un peu d'histoire » Copie archivĂ©e » version du 12 octobre 2007 sur l'Internet Archive sur le site officiel de l'Office du tourisme de Saint-Gilles-Croix-de-Vie, consultĂ© le 1er juillet 2009 ↑ Joseph RouillĂ© et Marcel Couton 1966, p. 11. ↑ a b et c Le Petit FutĂ© VendĂ©e 2008, p. 328. ↑ Joseph RouillĂ© et Marcel Couton 1966, p. 12-13. ↑ a b et c AndrĂ©-Hubert HĂ©rault et Jean de Raignac 1999, p. 141. ↑ Joseph RouillĂ© et Marcel Couton 1966, p. 24. ↑ Joseph RouillĂ© et Marcel Couton 1966, p. 27. ↑ A cette Ă©poque, le dĂźner Ă©tait le repas de midi. ↑ collectif d'auteurs du canton syndicat mixte Mer et Vie 2008, p. 129. ↑ a b c et d AndrĂ©-Hubert HĂ©rault et Jean de Raignac 1999, p. 170. ↑ a et b Borne informative n°7 Marcel Ragon » dans la promenade Marcel-Ragon, consultĂ©e le 12 septembre 2009 ↑ Hommage Ă  Charles Grasset », Infoville magazine, no 70,‎ juillet 2009, p. 25 lire en ligne [PDF], consultĂ© le 2 janvier 2010. ↑ NĂ©crologie Charles Grasset, ancien maire adjoint - 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Plus de 50 000 habitants La Roche-sur-Yon ville isolĂ©e Plus de 10 000 habitants Les Sables-d’Olonne ville isolĂ©e Challans Challans, Soullans et Sallertaine Saint-Hilaire-de-Riez Saint-Hilaire-de-Riez, Saint-Gilles-Croix-de-Vie, Le Fenouiller et Notre-Dame-de-Riez Montaigu-VendĂ©e Montaigu-VendĂ©e Clisson Cugand Fontenay-le-Comte Fontenay-le-Comte, LongĂšves, Pissotte et L’Orbrie Les Herbiers ville isolĂ©e Saint-Jean-de-Monts Saint-Jean-de-Monts, La Barre-de-Monts et Notre-Dame-de-Monts Plus de 5 000 habitants Luçon ville isolĂ©e Aizenay ville isolĂ©e Essarts-en-Bocage ville isolĂ©e Le PoirĂ©-sur-Vie ville isolĂ©e Chantonnay ville isolĂ©e Talmont-Saint-Hilaire ville isolĂ©e Bretignolles-sur-Mer Bretignolles-sur-Mer et Brem-sur-Mer Aubigny-les-Clouzeaux ville isolĂ©e Mortagne-sur-SĂšvre ville isolĂ©e Bellevigny ville isolĂ©e Chanverrie ville isolĂ©e Pouzauges ville isolĂ©e La FerriĂšre ville isolĂ©e Les Achards ville isolĂ©e Plus de 2 000 habitants La Garnache ville isolĂ©e Mouilleron-le-Captif ville isolĂ©e L’Île-d’Yeu ville isolĂ©e Noirmoutier-en-l’Île ville isolĂ©e Venansault ville isolĂ©e Dompierre-sur-Yon ville isolĂ©e Benet ville isolĂ©e Jard-sur-Mer Jard-sur-Mer et Saint-Vincent-sur-Jard Beauvoir-sur-Mer ville isolĂ©e La BruffiĂšre ville isolĂ©e La ChĂątaigneraie La ChĂątaigneraie et La TardiĂšre Saint-Fulgent ville isolĂ©e La Chaize-le-Vicomte ville isolĂ©e Saint-Laurent-sur-SĂšvre ville isolĂ©e Chavagnes-en-Paillers ville isolĂ©e Commequiers ville isolĂ©e Les Lucs-sur-Boulogne ville isolĂ©e RocheserviĂšre ville isolĂ©e CoĂ«x ville isolĂ©e L’Herbergement ville isolĂ©e La GaubretiĂšre ville isolĂ©e L’Épine L’Épine et La GuĂ©riniĂšre La Tranche-sur-Mer ville isolĂ©e Mareuil-sur-Lay-Dissais ville isolĂ©e Angles ville isolĂ©e L’Aiguillon-sur-Mer L’Aiguillon-sur-Mer et La Faute-sur-Mer Classement par population municipale au 1er janvier 2016 et par zonage en unitĂ©s urbaines de 2010 actualisĂ© au 1er janvier 2019 par l’Insee. Aires urbaines dans la VendĂ©e Communes du dĂ©partement de la VendĂ©e appartenant Ă  des aires urbaines. Grandes La Roche-sur-Yon PĂŽle urbain La Roche-sur-Yon ville isolĂ©e UnitĂ©s urbaines Le PoirĂ©-sur-Vie ville isolĂ©e Aubigny-les-Clouzeaux ville isolĂ©e Bellevigny ville isolĂ©e La FerriĂšre ville isolĂ©e Mouilleron-le-Captif ville isolĂ©e Venansault ville isolĂ©e Dompierre-sur-Yon ville isolĂ©e La Chaize-le-Vicomte ville isolĂ©e Communes rurales Rives-de-l’Yon Nesmy Nieul-le-Dolent Sainte-Flaive-des-Loups Landeronde La GenĂ©touze ChĂąteau-Guibert Beaufou La BoissiĂšre-des-Landes Thorigny FougerĂ© La MerlatiĂšre Le Tablier Les Sables-d’Olonne PĂŽle urbain Les Sables-d’Olonne ville isolĂ©e Communes rurales L’Île-d’Olonne Saint-Mathurin Sainte-Foy Saint-Hilaire-de-Riez PĂŽle urbain Saint-Hilaire-de-Riez Saint-Hilaire-de-Riez Saint-Gilles-Croix-de-Vie Le Fenouiller Notre-Dame-de-Riez Communes rurales Givrand Saint-RĂ©vĂ©rend Fontenay-le-Comte PĂŽle urbain Fontenay-le-Comte Fontenay-le-Comte LongĂšves Pissotte L’Orbrie Communes rurales Doix-lĂšs-Fontaines Saint-Michel-le-Cloucq Auchay-sur-VendĂ©e SĂ©rignĂ© L’Hermenault Saint-Martin-de-Fraigneau Montreuil Bourneau Xanton-Chassenon Petosse Marsais-Sainte-RadĂ©gonde Challans PĂŽle urbain Challans Challans Soullans Sallertaine Les Herbiers PĂŽle urbain Les Herbiers ville isolĂ©e Communes rurales Mesnard-la-BarotiĂšre Saint-Paul-en-Pareds La Rochelle Charente-Maritime Communes rurales L’Île-d’Elle Puyravault Niort Deux-SĂšvres UnitĂ© urbaine Benet ville isolĂ©e Communes rurales Le Mazeau Saint-Sigismond Moyennes Montaigu-VendĂ©e PĂŽle urbain Montaigu-VendĂ©e ville isolĂ©e Luçon PĂŽle urbain Luçon ville isolĂ©e Communes rurales Les Magnils-Reigniers Chasnais Petites Saint-Jean-de-Monts PĂŽle Saint-Jean-de-Monts Saint-Jean-de-Monts La Barre-de-Monts Notre-Dame-de-Monts Essarts-en-Bocage PĂŽle Essarts-en-Bocage ville isolĂ©e Chantonnay PĂŽle Chantonnay ville isolĂ©e Mortagne-sur-SĂšvre PĂŽle Mortagne-sur-SĂšvre ville isolĂ©e Pouzauges PĂŽle Pouzauges ville isolĂ©e L’Île-d’Yeu PĂŽle L’Île-d’Yeu ville isolĂ©e Noirmoutier-en-l’Île PĂŽle Noirmoutier-en-l’Île ville isolĂ©e Beauvoir-sur-Mer PĂŽle Beauvoir-sur-Mer ville isolĂ©e La Verrie PĂŽle La Verrie ville isolĂ©e La BruffiĂšre PĂŽle La BruffiĂšre ville isolĂ©e La ChĂątaigneraie PĂŽle La ChĂątaigneraie La ChĂątaigneraie La TardiĂšre Saint-Fulgent PĂŽle Saint-Fulgent ville isolĂ©e Saint-Laurent-sur-SĂšvre PĂŽle Saint-Laurent-sur-SĂšvre ville isolĂ©e Classement par population municipale au 1er janvier 2014 et par zonage en aires urbaines de 2010 actualisĂ© au 1er janvier 2017 par l’Insee. Communes de la CĂŽte de LumiĂšre Stations balnĂ©aires du littoral du dĂ©partement de la VendĂ©e Saint-Jean-de-Monts Saint-Hilaire-de-Riez Saint-Gilles-Croix-de-Vie Bretignolles-sur-Mer Brem-sur-Mer Olonne-sur-Mer Les Sables-d’Olonne Talmont-Saint-Hilaire Jard-sur-Mer Saint-Vincent-sur-Jard Longeville-sur-Mer La Tranche-sur-Mer Fusions de communes dans la VendĂ©e Anciennes communes et entitĂ©s rĂ©sultant de fusions dans le dĂ©partement de la VendĂ©e selon le type de regroupement. Sans statut La GrĂšve et Saint-Martin-des-Noyers Saint-Martin-des-Noyers, 1791 Challais et Saint-Pierre-le-Vieux Saint-Pierre-le-Vieux, 1792 Saint-Jean-de-la-Chaize et Saint-Nicolas-de-la-Chaize La Chaize, an V Le Grand-Luc et Le Petit-Luc Les Lucs, an V Marillet et Saint-Hilaire-de-Voust Saint-Hilaire-de-Voust, an VII BarbĂątre et Noirmoutier Noirmoutier, an VII Apremont, Les Habites et MachĂ© Apremont, an VIII La Chapelle-Palluau et Saint-Paul-Mont-Penit La Chapelle-Palluau, an IX-an XII Beauvoir et La CrosniĂšre Beauvoir, an IX Saint-Hermand et Sainte-Hermine Sainte-Hermine, 1808 Les Pineaux et Saint-Ouen-des-GĂąts Les Pineaux-Saint-Ouen, 1820 Pouzauges et Le Vieux-Pouzauges Pouzauges, 1822 ChĂąteaumur et Les ChĂątelliers Les ChĂątelliers-ChĂąteaumur, 1825 Faymoreau et Puy-de-Serre Faymoreau-Puy-de-Serre, 1827 Tallud et Sainte-Gemmes-des-BruyĂšres Tallud-Sainte-Gemme, 1827 La Meilleraie et Tillay La Meilleraie-Tillay, 1827 Challans et Coudrie Challans, 1827 La Grolle, RocheserviĂšre et Saint-Christophe-la-Chartreuse RocheserviĂšre, 1827 Chassais-l’Église et Sigournais Sigournais, 1827 Beaulieu-sur-Mareuil, Mareuil et Saint-AndrĂ©-sur-Mareuil Mareuil, 1827 Bellenoue, ChĂąteau-Guibert et Corbaon ChĂąteau-Guibert, 1827 Le Bourg-sous-Bourbon-VendĂ©e et ChĂąteau-Fromage Le Bourg-sous-Bourbon-VendĂ©e, 1827 Bouildroux et Thouarsais Thouarsais-Bouildroux, 1827 Denant et Nieul-sur-l’Autise Nieul-Denant, 1827 BouillĂ© et Courdault BouillĂ©-Courdault, 1827 Chassenon et Xanton Xanton-Chassenon, 1827 Champgillon et Saint-Juire-la-Plaine Saint-Juire-Champgillon, 1827 Le Simon et La Vineuse Simon-la-Vineuse, 1828 Saint-Étienne-des-Loges et Saint-Hilaire-sur-l’Autise Saint-Hilaire-des-Loges, 1828 Marsais et Sainte-RadĂ©gonde-la-Vineuse Marsais-Sainte-RadĂ©gonde, 1828 L’AiriĂšre et La FerriĂšre La FerriĂšre, 1828 Puymaufrais et Saint-Vincent-Fort-du-Lay Saint-Vincent-Puymaufrais, 1833 Beaulieu-sous-Bourbon et Martinet Beaulieu-sous-Bourbon, fĂ©vrier Ă  septembre 1834 Mouzeuil et Saint-Martin-sous-Mouzeuil Mouzeuil-Saint-Martin, 1964 Les Herbiers et Le Petit-Bourg-des-Herbiers Les Herbiers, 1964 Évrunes, Mortagne-sur-SĂšvre et Saint-Hilaire-de-Mortagne Mortagne-sur-SĂšvre, 1964 Ardelay et Les Herbiers Les Herbiers, 1964 Chantonnay, Puybelliard et Saint-Mars-des-PrĂ©s Chantonnay, 1964 Le Bourg-sous-la-Roche-sur-Yon, La Roche-sur-Yon et Saint-AndrĂ©-d’Ornay La Roche-sur-Yon, 1964 Charzais et Fontenay-le-Comte Fontenay-le-Comte, 1966 Croix-de-Vie et Saint-Gilles-sur-Vie Saint-Gilles-Croix-de-Vie, 1966 Foussais et PayrĂ©-sur-VendĂ©e Foussais-PayrĂ©, 1968 Sainte-Hermine et Simon-la-Vineuse Sainte-Hermine, 1971 Fontenay-le-Comte et Saint-MĂ©dard-des-PrĂ©s Fontenay-le-Comte, 1972 Talmont et Saint-Hilaire-de-Talmont Talmont-Saint-Hilaire, 1973 Association Aizenay et La Chapelle-Palluau Aizenay, 1972 Chantonnay et Saint-Philbert-du-Pont-Charrault Chantonnay, 1972 Bournezeau et Saint-Vincent-Puymaufrais Bournezeau, 1972 Benet, Lesson et Sainte-Christine Benet, 1973 La Chaize-le-Vicomte et La LimouziniĂšre La Chaize-le-Vicomte, 1973-1987 Dissais et Mareuil-sur-Lay Mareuil-sur-Lay-Dissais, 1974 Saint-Sornin et Saint-Vincent-sur-Graon Saint-Vincent-sur-Graon, 1974 Saint-Martin-de-Brem et Saint-Nicolas-de-Brem Brem-sur-Mer, 1974-2000 L’Aiguillon-sur-Vie et La Chaize-Giraud L’Aiguillon-la-Chaize, 1974 La CaillĂšre et Saint-Hilaire-du-Bois La CaillĂšre-Saint-Hilaire, 1975 La BretonniĂšre et La Claye La BretonniĂšre-la-Claye, 2000 Commune nouvelle Boulogne, Les Essarts, L’Oie et Sainte-Florence Essarts-en-Bocage, 2016 Mouilleron-en-Pareds et Saint-Germain-l’Aiguiller Mouilleron-Saint-Germain, 2016 Belleville-sur-Vie et Saligny Bellevigny, 2016 Doix et Fontaines Doix-lĂšs-Fontaines, 2016 Aubigny et Les Clouzeaux Aubigny-Les Clouzeaux, 2016 Mormaison, Saint-AndrĂ©-Treize-Voies et Saint-Sulpice-le-Verdon MontrĂ©verd, 2016 Les ChĂątelliers-ChĂąteaumur, La FlocelliĂšre, La Pommeraie-sur-SĂšvre et Saint-Michel-Mont-Mercure SĂšvremont, 2016 ChaillĂ©-sous-les-Ormeaux et Saint-Florent-des-Bois Rives-de-l’Yon, 2016 Auzay et Chaix Auchay-sur-VendĂ©e, 2017 La Chapelle-Achard et La Mothe-Achard Les Achards, 2017 BouffĂ©rĂ©, La GuyonniĂšre, Montaigu, Saint-Georges-de-Montaigu et Saint-Hilaire-de-Loulay Montaigu-VendĂ©e, 2019 Le PoirĂ©-sur-Velluire et Velluire Les Velluire-sur-VendĂ©e, 2019 ChĂąteau-d’Olonne, Olonne-sur-Mer et Les Sables-d’Olonne Les Sables-d’Olonne, 2019 Chambretaud et La Verrie Chanverrie, 2019 Nieul-sur-l’Autise et Oulmes Rives-d’Autise, 2019 La Faute-sur-Mer et L'Aiguillon-sur-Mer L'Aiguillon-la-Presqu'Ăźle, 2022 Note La commune absorbante et l’annĂ©e de fusion sont indiquĂ©es entre parenthĂšses Ă  la suite du nom de l’ancienne commune ; lorsqu’une commune issue d’un regroupement est composĂ©e en italique, cela signifie qu’une nouvelle entitĂ© est créée. Communes de la VendĂ©e Commune nouvelle Commune associĂ©e Anciennes communes de la VendĂ©e ieKpVVf.
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